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 I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini

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Message(ϟϟ) Sujet: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptyVen 31 Jan - 13:56

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I need to talk to you, my friend
Feat Sara Costantini & Felipe V. Cananuava



Sans doute que Felipe s’était montré particulièrement secret dans le contenu de sa lettre qu’il avait rédigé à l’attention de son amie. En effet, ses mots quelques peu excitants avaient résolument du paraitre étranges pour la jeune femme, qui était accoutumée à ses mots si francs et emplis de joie de vivre. Une joie de vivre qui semblait résolument l’avoir quitté sans même qu’il ne puisse en prendre réellement conscience. En dépit de tous les efforts qu’il s’efforçait d’adopter depuis le décès tragique de son frère, le jeune homme ne parvenait pas à remonter la pente. Il était si étrange pour lui d’arpenter les ruelles et couloirs de Poudlard sans avoir l’impression que son frère pourrait apparaitre à tout instant. Une sensation résolument perturbante et blessante qui ne pouvait que le questionner d’autant plus sur son destin au sein de l’école depuis son retour d’Espagne. Il errait, c’était résolument le terme qui convenait pour exprimer ce qu’il ressentait en ce moment, alors que son existence battait de l’aile. Sa seule distraction se trouvait être le Quiddich et son poste en tant que capitaine, qui l’obligeait à se socialiser, à agir comme si de rien n’était.

Seulement, son cœur n’était malheureusement pas épargner puisque suivant les mêmes cours que l’élue de son cœur, le souvenir de ce baiser volé mais si violemment rejeté avait meurtri son cœur plus que de raisons. Il se trouvait particulièrement incapable de la regarder, de lui parler sans se sentir profondément atteint, tiraillé par ce sentiment d’amour qui ne pouvait que souffrir de la voir se jouer de lui, ainsi. Sa présence aux funérailles de son frère, les larmes qu’elle avait versées n’avait pu que le blâmer de se sentir si jaloux de cet être cher décédé. Il s’en était senti profondément honteux et avait préféré éviter la jeune femme tout le long des condoléances, se contentant simplement de lui envoyer un hibou pour la remercier sans pour autant y ajouter le moindre autre mot. Une situation froide qui ne le laissait nullement indifférent mais contre laquelle il ne pouvait point lutter sa fierté se trouvant bien trop cuisante. C’est pour cela qu’il songeait sérieusement à quitter Poudlard, arrêter ses études pour tenter de se reprendre en main. Il avait besoin de changer d’air mais, ne désirait nullement fuir sans un projet en béton derrière.

Il comptait donc sur sa chère amie, Sara, la seule qui à ses yeux saurait le guider puisqu’elle se trouvait actuellement dans l’équipe d’Arsenal. Il désirait mettre toutes ses chances de son côté pour intégrer une équipe professionnelle et ainsi aboutir à son rêve. C’était la seule chose au monde qui parvenait à lui faire oublier quelques instants, ces tourments qui l’étreignaient. Il lui avait donc demandé de venir la rejoindre au sein de ce bar où ils pourraient discuter posément même s’il n’était nullement le lieu le plus propice à une telle discussion. Il avait cependant besoin de se vider la tête et pour cela, quoi de mieux qu’une soirée avec une amie à boire tout simplement ? Une pensée bien diamétralement opposée à l’hygiène de vie qu’il adoptait en temps normal. Il n’avait jamais tenu énormément l’alcool et il savait que celui-ci était néfaste pour l’organisme mais, il s’en sentait tributaire en ce moment alors qu’il perdait pied.

Il était donc arrivé à l’avancé, sagement habillé de façon décontracté alors qu’il sortait d’un entrainement de Quiddich. Il avait les cheveux légèrement humide, pas très bien coiffé et il était évident qu’il n’avait nullement l’apparence du séducteur bien apprêté pour séduire, qui que ce soit. Sans doute que Sara verrait la différence, lui qui en temps normal portait toujours des tenues un peu plus formelles, classes. Il avait donc commandé un Rhum groseille en arrivant dans le bar avant de venir s’installer à une table dans un lieu quelque peu visible de l’entrée mais, à l’écart cependant de toute l’agitation qui pouvait régner dans le commerce. Le regard perdu, il observait le contenu de son verre sans réellement songer à quoi que ce soit, soupirant tant il se trouvait épuisé par tout ce qui lui arrivait. Il patientait donc jusqu’à l’arrivée de son amie, ne s’étonnant nullement de son léger retard puisqu’il la savait très occupé. Il observait donc les gens rentrer dans le bar lorsqu’ils venaient passer le pas de la porte avant de voir apparaitre la frimousse si plaisante de son amie. Une vision qui ne pu que le faire délicatement sourire alors qu’elle semblait le chercher dans la salle, son regard se portant à droite et à gauche. C’est donc tout naturellement qu’il vint lever la main pour lui indiquer sa présence, s’efforçant qu’elle le remarque sans avoir à s’exprimer à haute voix. Ce qui mit quelques minutes avant que son regard ne vienne se poser sur lui. Il lui offrit un doux sourire sincère et amical alors qu’elle venait à sa rencontre.

« Bonsoir Sara ! Merci beaucoup d’être venue. Tu es toujours aussi ravissante. Je crains que je vais faire des jaloux… » Plaisanta-t-il dans un regard doux alors qu’elle prenait place face à lui. « Comment vas-tu ? Tu veux boire quelque chose ? Je suis arrivé plus tôt donc j’ai commandé pour moi mais, je ne savais pas ce que tu aimais comme boisson, donc je n’ai pas osé m’avancer. Désolé… »

Son sourire ne quittait pas ses lèvres en dépit de l’attitude assez mélancolique que renvoyait son regard. Il se trouvait ravi de la voir et il espérait que cela se remarquait aisément tout simplement.

TENUE : 01.


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Message(ϟϟ) Sujet: Re: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptyVen 31 Jan - 20:30

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Bon, il était où ? Sara était très occupée. Elle avait quand même interrompu une partie sur sa wii pour sauter dans la douche quelques minutes seulement avant l'heure où elle devait retrouver son ami. Elle qui était en train de gagner ! Pour une fois, en plus... Heureusement pour Felipe que son doux sourire valait ce sacrifice, sinon, nul doute qu'elle lui en ferait payer le prix pendant les six mois à venir. L'entrainement du matin avait été épuisant, et si Sara s'était écoutée, elle serait restée en mode loque chez elle pour le reste de la journée. Le fait était pourtant que la réception d'une lettre, quelques jours plus tôt, lui avait permis de se préparer à l'idée de sortir de son cocon d'appartement à Camden. C'était pour la bonne cause ; c'était pour revoir Felipe, qu'elle avec lequel elle n'avait l'occasion de partager un verre que trop peu souvent à son goût. Elle pourrait lui raconter ses dernières mésaventures, et ils riraient comme des phoques lorsqu'elle raconterait comment elle s'était retrouvée avec du vernis à ongles sur le nez quelques jours auparavant -son nez la grattait et son vernis n'était pas sec, faites le calcul, voilà, hein...-, pourquoi se coiffer sur un balai à vingt mètres de haut pouvait s'avérer dangereux, ou comment elle s'était retrouvée à partager une conversation philosophique avec un hamster. Le programme promettait donc d'être joyeux et fleuri, du moins le pensait-elle. Elle s'était préparée rapidement mais avec efficacité, et lorsqu'elle franchit les portes du café le plus touristique de la ville -super facile d'accès, d'ailleurs, ce n'était pas la première fois qu'elle songeait à y venir à califourchon sur son balai-, son style étudié jusqu'aux ongles contrasta avec celui des touristes colorés et bariolés. Le café, malheureusement pour elle et la facilité des retrouvailles, était bondé. Elle était en retard, elle le savait, et en serait restée désolée si elle n'avait pas pivoté sur elle-même, dans le sens des aiguilles d'une montre puis le sens inverse, pour retrouver Felipe. La seule solution était que pour rire -et ahahah, c'était très lolant, tout ça-, il s'était métamorphosé en table ou en chaise. Ou en café, en cappuccino, ou en touriste allemand dont les magnifiques chaussettes s'accordaient à la perfection avec les sandales. Non, il fallait le dire, elle commençait à s'impatienter. Il ne pouvait pas être plus en retard qu'elle, à moins que, pour une raison quelconque, il se soit trompé de fuseau horaire (oui, on est à Londres, pas à Atlanta). Donc soit il était là, à se foutre de sa gueule comme pas possible en la regardant tourner en rond comme une résidente de maison de retraite en compagnie de monsieur Alzheimer, soit il était déjà parti, se basant sur une absence de politique de tolérance vis-à-vis d'un potentiel retard.

Finalement, Sara repéra une main, comme engloutie dans la foule d'allemands qui s'insultaient tous -où se parlaient avec amour, dans cette langue là, rien n'était sûr. C'était comme si cette main lui faisait signe. Sans aucun doute, quelqu'un était au bout de ce bras perdu dans la marée humaine -ou alors c'était très mauvais signe. Plissant les yeux comme si ça allait l'aider à attraper une vue bionique, la brunette s'approcha tant bien que mal de la table isolée d'où avait été dégainée cette main. Plus la distance qui les séparait s'amenuisait, plus Sara était sûre qu'elle rejoignait Felipe. Peut-être que le sourire de son ami aidait. Il aidait même en grande partie, en réalité. Elle se tenait devant lui, un sourire Freedent éclairant son visage. « Tu joues le super-héros qu'on doit pas démasquer ? Ou l'échappé d'Azkaban ? Non parce que c'était sympa de tourner en rond pendant tout ce temps mais bon... » Elle pouffa comme une gamine et se laissa tomber sur la chaise qui faisait face à celle de Felipe, alors que celui-ci la saluait et l'invitait à commander ce qu'elle souhaitait. « Bonsoir Sara ! Merci beaucoup d’être venue. Tu es toujours aussi ravissante. Je crains que je vais faire des jaloux… » Un sourcil fier se haussa sur le visage de Sara et elle pinça un sourire. « Je sais... » Elle lança une mèche de cheveux en arrière en ajoutant que : « Fais gaffe, j'ai déjà des amis qui ont été agressés par jalousie. Tu connais Heath Ledger ? » Elle haussa les épaules avant de conclure, sur le ton de la confidence : « Faut pas croire tout ce que tu entends. Il a été assassiné... » Elle s'adossa à sa chaise, fière. « C'était un bon coup. » Bon, ok, parler de mort n'était sans doute pas la chose la plus intelligente à faire à ce moment précis, mais Sara, bête et spontanée comme elle l'est, ne s'en rendait pas compte. « Et puis tu me connais très bien. Tu sais que je prends toujours de l'eau plate. » Elle leva donc la main, sans quitter Felipe du regard, pour attirer l'attention d'un serveur. Fronçant les sourcils en se taisant enfin, elle ressentit quelque chose d'étrange ; un malaise de mélancolie. « Felipe Casanuava... » Un serveur arriva justement à ce moment précis. « Un verre de Chardonnay, s'il-vous-plait. » Dans la tête de l'attrapeuse avaient défilé whisky, rhum et toutes sortes de bières, avant de finalement s'arrêter sur un choix plus sage, qui laissait par ailleurs entendre qu'elle avait compris que l'heure était grave. Elle attendit que le serveur fasse demi-tour avant de croiser les bras sous sa poitrine, l'air grave. « Si t'as fait des folies shopping, je peux t'aider, je connais ça... » tenta-t-elle pour détendre l'atmosphère, avant de se souvenir que c'était le genre de conneries que font les femmes, plutôt que les hommes.

Sara n'était que trop bien placée pour savoir ce qu'avait enduré son ami. Leur relation était compliquée et particulière, et pourtant, nul doute qu'ils pouvaient la qualifier d'amitié. Les lettres étaient le moyen le plus simple pour eux de communiquer, mais ils n'en avaient pas moins oublié de se confier l'un à l'autre lorsque ça n'allait pas. Et Sara se souvient encore de cette journée funeste où elle s'était habillée toute de noir pour soutenir Felipe qui enterrait son frère. Elle était fille unique et ne pouvait pas, à un seul moment, imaginer toutes ces phases par lesquels sont ami passait, été passé et passerait encore, mais une chose était sûre : c'était un tragique événement qui marquait une personne toute entière. Elle ne s'était jamais sentie particulièrement à l'aise pour parler de deuil, elle qui n'avait même pas eu l'opportunité de vivre celui de sa grand-mère de façon saine et sage. C'était un domaine qui lui était inconnue et, à l'heure actuelle, elle était toujours dans une phase de déni. Sa grand-mère n'était pas partie, elle était toujours là. Et ce n'était pas forcément la meilleure façon d'aider un ami qui avait perdu un frère jumeau que de lui parler de sa propre expérience si celle-ci se résumait à ne pas accepter le départ d'un être aimé. Elle ne se sentait pas fiable, elle ne se sentait pas utile, pas plus qu'elle se sentait digne de l'amitié qui la liait à Felipe.
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptyDim 2 Fév - 20:07

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I need to talk to you, my friend
Feat Sara Costantini & Felipe V. Cananuava



Lorsqu’il avait entendu la première remarque de sa jeune amie, Felipe n’avait pu qu’esquisser un sourire quelque peu amusé en dépit de l’expression quelque faussement irrité de son ami. En effet, cette dernière lui avait demandé s’il avait se la jouer super-héros qu’on ne devait pas démasque ou l’échappé d’Azkaban au choix. Elle lui reprochait en effet de n’avoir pas manifesté de façon plus flagrante sa présence en ses lieux et cette réprimande n’avait pu que lui donner envie de rire, se sentant nullement fautif dans l’histoire. Après tout, n’était-il pas pour rien si cette dernière était arrivée en retard et s’il s’était dirigé vers une place vide, qui se faisait tant désirée au sein du bar ? Un reproche qu’il ne comptait résolument pas lui exprimé tant il n’avait en toute sincérité que peu faire, se sentant déjà amplement ravi de la savoir ici alors qu’elle avait un emploi du temps chargé.

Il l’avait donc accueillie avec un doux sourire, si enthousiasmé de pouvoir passer du temps avec elle. Il n’avait pu que la complimenter comme toujours sur sa beauté qui ne sembla nullement tombé dans l’oreille d’une sourde. En effet, cette dernière vint hausser un sourcil, résolument fière de cette éloge qu’il lui attribué alors qu’elle se pinçait sa lèvre dans un sourire, avouant effrontément et de façon si adorable à ses yeux qu’elle savait qu’elle était ravissante. Un comportement si typique de son amie que ce dernier ne pu que renforcer son sourire alors qu’elle lançait une mèche en arrière de ses cheveux pour l’informait qu’il devait faire attention car certains de ses amis avaient déjà été agressés par jalousie. Elle fit mention d’un nom qui devait résolument lui dire quelque chose mais, qui sur le coup lui dit rien tandis qu’elle haussait les épaules pour l’informer qu’il ne fallait pas croire tout ce qu’il entendait car il avait été assassiné.

Une confidence qui le laissa quelque peu pantois tant cette nouvelle s’était faite brusque alors qu’elle prenait place face à lui en lui annonçant qu’il avait été un bon coup. une désinvolture coutumière de la part de son ami qui ne vint nullement le choquer outre mesure alors qu’il laissait de nouveau un sourire apparaitre sur ses lèvres tandis qu’elle reprenait la parole pour lui lancer qu’il la connaissait très bien puisqu’elle prenait toujours de l’eau plate. Elle leva la main pour avertir un serveur alors qu’elle sentait son regard quelque peu sérieux se poser enfin franchement sur lui. La seule énonciation de son patronyme avec ce froncement de sourcils lui fit comprendre que la jeune femme avait du entrevoir l’état quelque peu perdu dans lequel il se trouvait.

Il baisa donc le regard quelques secondes sur son verre tandis que le serveur venait prendre sa commande avant de les seuls. Il perçu l’expression sérieuse de son amie tandis qu’elle venait croiser les bras sous sa poitrine alors qu’elle l’informait que s’il avait fait des folies shopping, elle pouvait l’aider puisqu’elle connaissait ça. Une remarque à laquelle il ne s’attendait nullement et qui pu que lui tirer un énième sourire doux alors qu’il appréciait l’effort de son amie de vouloir détendre l’atmosphère. Il vint donc rire délicatement alors qu’il venait murmurer.

« Je ne manquerai nullement de venir parler de folies shopping à l’avenir avec toi, je n’ai pas encore expérimenté la chose mais je suis persuadé que cela doit être fort passionnant. Parler de dentelles et sous-vêtements, c’est mon domaine, dommage qu’il n’existe pas de sous vêtements aussi affriolants pour les hommes, on aurait de quoi discuter pendant des heures. »

Il n’avait pu s’empêcher de sortir une légère pique taquine en douceur alors qu’il revoyait déjà le serveur ramener la consommation de son amie avant de les laisser seuls de nouveau. Venant reprendre sa respiration, c’est dans un doux ton qu’il vint ajouter.

« A vrai dire, j’avais envie de te voir tout simplement. Cela me fait du bien de quitter les couloirs de Poudlard pour quelques heures et ta compagnie est toujours si agréable. » Il avait prononcé ses mots dans un sourire plus enjoué, plus sincère alors qu’il lui avouait : « Tu as l’aisance de me faire rire facilement et je dois avouer que j’en ai grandement besoin, tout comme de tes conseils mais, avant cela… Et si tu me parlais des derniers potins au sein de l’équipe d’Arsenal ? Les entrainements se passent bien ? Par tout hasard aurais-tu entendu mon nom sortir des lèvres des recruteurs de l’équipe ? »

Il avait rit délicatement à sa dernière réponse, cette dernière arrivant toujours aisément sur le tapis dès lors qu’il voyait son amie. Il ne pouvait nier qu’il avait grandement envie d’entrer dans la fameuse équipe de son amie dans l’avenir, lui passionné de Quiddich qui ne voyait son futur dans l’une des plus grandes équipe du monde. De plus, pour dire toute la vérité, il projetait de tout faire pour rentrer rapidement dans l’une d’entre elle mais, pour cela, il fallait tout d’abord qu’il demande des conseils à son ami afin de déterminer quels étaient les éléments nécessaires à un joueur pour que les recruteurs s’intéressent à lui, tout simplement.


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Message(ϟϟ) Sujet: Re: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptyJeu 6 Fév - 1:05

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Sara ne s'était jamais considérée comme une bonne confidente ou une bonne conseillère. Elle n'avait qu'une définition vague de l'amitié, des engagements qu'elle pouvait impliquer, mais aussi et surtout de l'attitude idéale à adopter face à quelqu'un de cher qui se noie dans sa détresse. Elle n'était pas à l'aise avec la peine et le chagrin. Elle, sa spécialité, c'était de se cacher pour éviter le négatif. C'était faire l'autruche, le temps que l'atmosphère se fasse à nouveau respirable. C'était courir loin des tracas, des peines, des deuils, des problèmes et des chagrins, juste parce que c'était plus facile de se berner soi-même, se faire croire que tout va bien, que de faire face à tout ce qui va mal. La diversion était la technique la plus fiable que Sara avait abordée. S'occuper l'esprit lorsque ça n'allait pas, se persuader que tout allait bien et que rien n'avait changé. Les revers n'étaient jamais agréables, mais Sara et son sourire étaient persuadés de pouvoir faire face à toute situation. Parce que c'était elle qui choisissait de sourire, se disait-elle lorsque ça n'allait pas. C'était elle qui choisissait de se battre et de s'armer de ce sourire, juste pour prouver au monde, presqu'autant qu'à elle-même, qu'elle gagnerait sur cette morosité, ces instants de désespoir, de défaites, de deuils, d'angoisse ou de saturation. S'occuper l'esprit, s'aérer, vaquer à des occupations, quelles qu'elles soient, pour oublier. Voilà quelle était la technique de Sara. Seulement, cette technique là, elle ne l'avait jusque là appliquée qu'à elle. Comment voulez-vous dire à une autre personne, quelle qu'elle soit, « allez, bouge ton cul, souris, force toi, et ça ira mieux » ? C'était cruel et presque inhumain d'imposer un tel remède à une peine, quelle qu'elle soit. Si Sara savait gérer ses chagrins et les contourner à la perfection pour mieux repartir, elle était, au contraire, loin d'être à l'aise pour aider ceux qui rencontraient des obstacles du même acabit. C'était sans doute pour ça qu'elle était ridicule. Que tout ce qu'elle trouvait à faire, dans ces cas-là, c'était feinter. Parler d'autre chose, rire, faire des blagues. Ses regards en disaient toujours long, mais l'Italienne n'avait jamais été douée avec les mots. Elle n'avait jamais su expliquer ce qu'elle ressentait, mettre des mots sur ce qu'elle pensait. Souvent, lorsqu'elle tentait la démarche, son discours se transformait en un mélange informe de mots plus ou moins logiques, qui bifurquaient rapidement vers un sujet qui n'avait rien à voir. Alors, imaginez bien que consoler que quelqu'un relevait pour la brunette d'un véritable parcours du combattant, cause probable d'un accident vasculaire cérébral si elle se forçait à chercher les mots exacts à utiliser.

Pourtant, lorsqu'elle s'était retrouvée face à de telles situations, au delà du théorique et de son appréhension, Sara n'avait pas fait de conneries. Pas à sa connaissance, en tout cas. Pas d'AVC, pas de peurs de gaffer, pas de bégaiements à la recherche des mots exacts, pas de fuite, de sourires débiles ou de feintes ridicules. Non, le chagrin, lorsque ses proches le ressentaient, elle le vivait aussi. Elle était contaminée. Mais elle voyait alors les choses différemment de lorsqu'elle était la première victime de ces peines. Parce qu'elle voulait voir ses amis heureux, souriants et croquant la vie à pleines dents, Sara n'avait pas à réfléchir mille ans avant de réagir. C'était une réaction qui s'imposait d'elle-même à chaque fois, un réflexe étrange qui la poussait à oublier ses appréhensions, sa peur d'être inutile et de dire des mots qui empireraient la situation. Elle fronçait les sourcils, quitte à accentuer ces quelques rides du lion que son âge commençait à marquer. Elle penchait la tête sur le côté, doucement, attendrie et attristée. Et puis, elle parlait. Bêtement, ou pas. Elle serrait dans ses bras. Tout était instinctif, tout était une réaction étrange et spontanée à cette empathie qui la caractérisait dans de telles circonstances. Face à Felipe, ce soir-là, elle s'était rapidement rendue compte que quelque chose ne collait pas. Son sourire de façade ne trompait pas Sara. Elle n'était pas voyante, mais déceler la lueur de mélancolie dans le regard de son ami n'avait pas été un exercice trouble et fastidieux, loin de là. Sauf que cette fois-ci, précisément, Sara n'avait pas eu les bons réflexes, pas tout de suite. Elle avait préféré commencer doucement, peut-être, à son image. Détendre l'atmosphère à sa façon, quitte à se ridiculiser elle-même, comme elle en avait l'habitude. Felipe avait répondu sur le même ton, arrachant à la brunette un sourire amusé. « Ça tombe bien que tu parles de ça, j'ai vu quelques ensemble en dentelle l'autre fois, je les ai ajoutés sur ma liste de futurs achats. Mais putain... », elle secoua la main pour appuyer ses dires, « ... c'est un putain d'investissement d'être une femme sexy de nos jours. » Elle marqua une brève pause avant de rebondir sur ce qu'il avait ajouté. « Tu sais, je peux toujours parler de lingerie pendant des heures, et tu m'écouteras. C'est le rôle des mecs, ça, d'écouter les demoiselles quand elles ont pas pris leurs calmants. » Elle fut interrompue par le serveur qui lui ramena sa boisson, dont elle but aussitôt une petite gorgée. La gorgée du courage. Elle savait qu'ils n'allaient pas tarder à rentrer dans le vif du sujet, et elle ne désirait pas plus qu'aider son ami. « A vrai dire, j’avais envie de te voir tout simplement. Cela me fait du bien de quitter les couloirs de Poudlard pour quelques heures et ta compagnie est toujours si agréable », commença-t-il alors qu'elle se pinça la joue dans un sourire flatté. « Moi tu m'as fait quitter mon salon et mon canapé. Mais j'te pardonne. J'accepte les dédommagements par chèques moldus. Ou sinon je te donne directement la référence des ensembles que j'ai repérés. » Se penchant au dessus de la table avec un clin d’œil, elle ajouta, sur un ton plus sérieux : « Tu sais très bien que c'est réciproque. Un canapé peut pas rivaliser avec un ami. » Mais Felipe n'avait pas fini. Sara ne savait pas trop où la conversation allait les mener, ce qu'il comptait lui confier, mais elle n'insistait pas. C'était lui qui dirigeait la danse, ce soir-là. C'était lui qui avait besoin de parler et qui déciderait de ce qu'il s'autoriserait à dire. « Tu as l’aisance de me faire rire facilement et je dois avouer que j’en ai grandement besoin, tout comme de tes conseils mais, avant cela… Et si tu me parlais des derniers potins au sein de l’équipe d’Arsenal ? Les entrainements se passent bien ? Par tout hasard aurais-tu entendu mon nom sortir des lèvres des recruteurs de l’équipe ? » continuait-il donc. Jouant avec le pied de son verre de vin, Sara souriait à son ami. « Ouais, on me dit souvent que je suis drôle. J'ai déjà réfléchi à faire un one woman show, mais après je me suis dit que mon humour est tellement exceptionnel qu'il devrait être réservé seulement à quelques VIP. » Elle leva brièvement les yeux au ciel, imaginant une auréole de perfection au dessus de ses cheveux bruns. Mais elle n'avait pas pour autant oublié ce que lui avait ensuite demandé le jeune homme. « Les potins ? Mmh... » Elle s'adossa à nouveau à sa chaise, son verre à la main. S'accordant quelques secondes de réflexion, elle décida de s'attaquer à son attrapeur préféré. « Bart Vaughan est amoureux de moi. Il m'a fait sa déclaration hier, il a déjà prévu les fiançailles et tout... » Gardant son sérieux... allez, trois secondes, Sara finit par pouffer comme si elle avait vingt ans de mois. « Pardon », dit-elle finalement d'une voix aigüe entrecoupée de gloussements. Reprenant le contrôle de sa respiration en quelques instants, Sara enchaina, un large sourire toujours aux lèvres. « Plus sérieusement, les entrainements ça va. Y'a plus qu'à faire nos preuves pendant les matchs, mais je suis là donc tout ira bien. » Oui, enfin, t'étais là les années d'avant, aussi... Revenant à ce que Bart avait demandé concernant les recruteurs, Sara but une nouvelle gorgée de vin et reposa le verre sur la table, y apposant également ses coudes pour poser son visage sur ses mains. « Les recruteurs je les croise pas trop, tu sais. » Sara connaissait la passion de son ami pour le quidditch, et, en réalité, il s'agissait sans doute là l'un des points communs qui les avait rapprochés à la base, leur permettant de tisser, au fur et à mesure, les bases d'une amitié solide. « Et toi, Poudlard, tout ça ? Des fêtes des prévues ? » Écarquillant les yeux comme si elle venait de dire une connerie plus grosse qu'un dragon, Sara fit des signes de main pour retirer ce qu'elle venait de dire. « Non non, pas de fête, c'est mal, il faut pas boire. Étudier, c'est bien. Les livres, les devoirs, les cours, tout ça, c'est cool... » Et puis elle se figea, et l'expression de son visage changea à nouveau du tout au tout en un temps record. « AHAHAHA pour qui j'essaie de me faire passer... »
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptyDim 16 Fév - 15:34

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Feat Sara Costantini & Felipe V. Cananuava



La lingerie féminine était résolument le point faible du jeune hispanique qu’il se trouvait être. En effet, depuis sa plus tendre adolescence, il n’avait pu résister aux tenues affriolantes de ces beautés sexys qu’il pouvait découvrir au travers des pages de ces revues quelques peu coquines pour ne pas dire perverses. En effet, il l’était dans une certaine mesure, trouvant la lingerie coquine particulièrement agréable à regarder comme un ensemble de sous-vêtement de haute qualité. Il s’intéressait donc à ces dessous féminins qui pouvaient rentre fous n’importe quel homme, s’amusant même à conseiller ses amies féminines lorsqu’elles avaient besoin de conseil en la matière. Avoir un point de vue masculin, avisé était toujours particulièrement plaisant pour ces dernières et il n’était pas rare qu’il se propose même d’être le premier à le voir les porter pour savoir si l’élu de leurs cœurs allaient craquer ou non. Des demandes qui étaient rarement acceptées mais, qu’il appréciait résolument la vue lorsqu’il en avait l’opportunité. Un comportement un brin pervers mais, qu’il assumait pleinement à la plus grande joie de ses amies féminines qui pouvaient alors se moquer de lui à ce sujet. Il ne pu donc que rire de la remarque de son amie qui lui fit part de quelques unes de ses trouvailles à ce sujet. Elle les avait ajouté d’ailleurs à sa liste de futurs achats mais c’était un grand investissement d’être une femme sexy de leurs jours.

« C’est pour ça que l’idéal est d’avoir sous le coude un homme pour qu’il les achète à ta place… » Lança-t-il dans un fin rire avant d’ajouter l’air un peu taquin : « …du moins, le jour où j’aurai une petite amie, je me ferai un plaisir de lui offrir de la bonne lingerie afin de la voir la porter. C’est tellement sexy une femme dans ces petits ensemble en dentelles, plus féminines que jamais. »

Il rit de sa remarque, conscient qu’il devait donner l’impression d’être un adolescent pervers, ce qu’il était dans une certaine mesure, n’hésitant pas à rajouter dans le même entrain.

« Je suis persuadé que cette conversation serait forte intéressant, je suis après tout un amateur très pointu en cette matière, je suis capable de reconnaitre un modèle que par sa brettelle. »

C’est sur ces belles paroles qu’il lui avait avoué son désir de la voir tant cela lui faisait du bien de quitter les ruelles de l’école pour être en sa compagnie. Un aveu qui sembla ravir la jeune femme qui lui fit part qu’elle avait juste quitté son canapé et son salon mais qu’elle lui pardonnait. Elle plaisanta de nouveau, lui proposant de lui acheter les ensembles qu’elle avait repérés en tant que dédommagements. Une remarque qui renforça son sourire alors qu’il répondait spontanément dans le même ton.

« Mm… Pourquoi pas ? Je me ferai un plaisir de te les offrir si tu me donnes le droit d’être le premier à te voir les porter. »

Il plaisantait à moitié bien entendu. Si elle était partante, il ne verrait aucun inconvénient à remplir sa part du marché mais, il pouvait toujours rêver. Que voulez-vous, on ne pouvait pas le refaire. Son amie vint le rassurer au sujet de sa présence et qu’elle était ravie de le voir car un canapé bien doux ne pouvait résolument pas rivaliser avec l’ami qu’il était.

Il avait donc poursuivi sur un sujet plus sérieux mais tout aussi légers qui introduisait plus ou moins ce qu’il voulait entrevoir. Il écouta donc sa réponse avec intérêt, riant de cette désinvolture qu’il appréciait tant chez cette demoiselle qui ne pu s’empêcher de continuer de plaisanter avant d’aborder les potins de son équipe. Bart Vaughan était amoureux d’elle. Il lui avait fait sa déclaration la veille et il avait déjà prévu les fiançailles et tout. Un potin qui aurait pu être sérieux s’il n’avait pas vu cette lueur de malice dans le regard de son amie avant de la voir pouffer de rire pour s’en excuser. Et dire que durant deux secondes, il l’avait cru. Un fait qui ne pu que le faire rire, résolument dépité de s’être fait avoir. Elle lui indiqua seulement que les entrainements se passaient bien et qu’ils n’avaient plus qu’à faire leurs preuves pendant le match.

Elle vint poser ses coudes sur la table pour y poser sa tête sur ces mains, celui lui conférant une expression mignonne à ses yeux qu’il ne pu que se soumettre intérieurement alors qu’elle lui indiquait qu’elle ne croisait pas trop les recruteurs. Il lui serait donc difficile de savoir s’il le voyait comme un joueur potentiel en vu de ces révélations. Il ne pouvait que s’en sentir légèrement frustré même s’il ne le montra point, préférant se concentrer sur les dires de son amie qui vint s’intéresser à sa situation. Des paroles qui ne purent que le faire alors qu’il lui répondait, dans un fin rire.

« En effet, tu n’es pas très crédible en disant cela, quand je me souviens de l’élève que tu étais à cette époque… »

Il n’avait pu s’empêcher de lui lancer une petite pique amicale alors qu’il poursuivait dans le même ton.

« Tout va bien dans une certaine mesure. Mes amis me trainent encore plus souvent en soirée pour me changer les idées mais, ce n’est pas trop mon délire en ce moment. Je pense que c’est assez normal en vu des de ce qu’il s’est passé ses derniers mois mais, j’essaye de survivre. On veille sur moi, me pouponne presque, si j’avais su, j’aurai joué cette carte de gars un peu paumé pour recevoir toute l’attention de ces dames, c’est très plaisant tout cela. »

Il avait rit délicatement à tout ceci, s’efforçant de prendre tout cela avec le rire même si ce n’était pas trop l’état d’esprit dans lequel il se trouvait actuellement. Seulement, il avait pris l’habitude d’agir de façon si détachée, désinvolte, que finalement, il n’avait encore avoué à personne, qu’il allait mal en dépit de tous les efforts qu’il faisait, tout simplement. C’est pour cela qu’il vint boire une bonne gorgée de sa boisson en continuant de sourire pour reposer son verre sur la table, ajoutant simplement.

« Prête à faire la fête ce soir avec moi ? A moins bien entendu que tu ais d’autres projets ? »


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Message(ϟϟ) Sujet: Re: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptyLun 17 Fév - 20:31

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Sara n'avait jamais réfléchi à sa conception de l'amitié. Pour elle, bien s'entendre avec certaines personnes était évident, et elle n'avait jamais réfléchi à ce qui était censé se faire dans une circonstance ou une autre. Pourtant, épauler ce qui en avaient besoin faisait partie de son tempérament : elle ne laissait pas une âme en peine tant qu'elle pouvait l'aider. C'était à peu près valable pour n'importe qui, qu'il s'agisse d'un inconnu comme d'un proche. Et encore plus lorsqu'il s'agissait d'un proche, du coup. A l'instar de Felipe, qui avait traversé et traversait encore l'une des pires épreuves auxquelles il pouvait avoir à faire face : la perte de son frère jumeau. Si Sara été fille unique, elle n'en négligeait pas pour autant les liens forts qui pouvaient exister entre frères et sœurs, et peut-être plus particulièrement encore entre deux êtres qui avaient vécu les premiers instants de leur vie aux côtés l'un de l'autre. C'était un concept qu'elle ne pouvait que s'imaginer, mais elle imaginait ce lien fort et immunisé contre toute épreuve. Un peu comme quelqu'un qui vous suivait peu importe votre état, vos rêves ou vos désillusions. Un peu comme une amitié, amplifiée par ce ciment familial, forgé par une enfance commune et des éléments bien inexplicables. La perte d'un jumeau devait se rapprocher de celle de l'âme sœur mais, Sara n'ayant connu aucun des deux, elle ne pouvait qu'imaginer la douleur que subissait encore Felipe. Ça aurait sans doute été mentir de prétendre qu'elle connaissait le deuil. Sa grand-mère était partie des années auparavant, mais c'était une idée à laquelle il avait été bien plus facile de se faire pour elle que Felipe à celle du départ de son frère, malgré l'aspect cruel que cette simple pensée pouvait avoir. Grand-mère Costantini avait été malade depuis des années, se battant jusqu'à ne plus pouvoir le faire. Le grand regret de Sara avait été de ne pas avoir pu être présente à ses funérailles, mais, encore une fois, c'était bien ridicule comparé à la perte d'un être tel qu'un frère jumeau. C'était le genre de situations face auxquelles la brune ne se sentait pas à l'aise, parce que c'était une cruauté infligée par la vie qu'elle n'avait pas eu à affronter. Et qui d'autre de plus hypocrite que quelqu'un qui cherche à vous aider sans avoir vécu ce qui vous anéantit ? Voilà l'idée qu'avait Sara sur la situation. Elle n'était pas la plus appropriée pour l'aider et ne le serait jamais. Pourtant, ce n'était pas faute d'essayer. Mais elle ne trouvait pas les mots ni l'attitude idéale. Dans ce genre de situations, faire diversion était ce qu'elle trouvait de plus aisé. Autrement, elle était à peu près sûre que les gaffes n'étaient pas loin. Et une diversion parmi tant d'autres possibilités, c'était le shopping, bien sûr. Le shopping, et plus particulièrement la lingerie féminine, en l’occurrence. « C’est pour ça que l’idéal est d’avoir sous le coude un homme pour qu’il les achète à ta place… » répondait Felipe alors qu'elle eu un sourire en coin, répondant du tac au tac. « J'ai tellement d'hommes sous la main qu'aucun d'eux m'offre rien... » regrettait-elle en se disant qu'ils avaient quand même le mérite de lui offrir quelques orgasmes. C'était une autre façon pour eux de lui prouver son importance, même s'ils ne se croisaient qu'une fois, au détour d'un bar ou d'un amphithéâtre. « …du moins, le jour où j’aurai une petite amie, je me ferai un plaisir de lui offrir de la bonne lingerie afin de la voir la porter. C’est tellement sexy une femme dans ces petits ensemble en dentelles, plus féminines que jamais. » reprenait le jeune homme. Penchant la tête sur le côté, Sara lui lança un regard attendri. « Oh c'est trop mignon. Enfin, un peu pervers, aussi. Mais j'aimerais bien que mon copain m'offre un de ces ensembles. » Sauf que... bah ouais, elle n'avait pas de copain fixe. Et le seul aléa qu'elle trouvait à cette situation était celui-là, en fait. Mais quand même. Quelle jeune femme normalement constituée refuserait que son copain lui achète de quoi se sentir sexy ? Malgré tout, maintenant qu'elle y pensait, c'était assez étrange d'avoir ce type de conversations. Enfin, pas pour Sara et peu importe avec qui elle pouvait l'avoir. Mais aussi rapidement après leurs retrouvailles. « Je suis persuadé que cette conversation serait fort intéressante, je suis après tout un amateur très pointu en cette matière, je suis capable de reconnaitre un modèle que par sa brettelle », continuait le Poufsouffle alors qu'elle siffla, impressionnée. « Eh bah dis donc, t'as de quoi impressionner la gent féminine, mon cher. Il faudrait te trouver une chérie, t'en ferais une femme comblée, je suis sûre », répondit-elle hochant la tête pour appuyer ses dires. Malgré l'intérêt de la conversation, ils s'avouèrent leur bonheur de se retrouver, enfin... ce qui ne dura pas. Sara ne pouvait décidémment pas s'empêcher de penser shopping et lingerie lorsque des pièces particulières lui avaient tapé dans l'oeil. Un peu comme Scrat et sa noisette, elle en devenait légèrement obsédée -sauf qu'elle n'avait pas encore eu le privilège de briser un glacier ou de se retrouver au temps des dinosaures. « Mm… Pourquoi pas ? Je me ferai un plaisir de te les offrir si tu me donnes le droit d’être le premier à te voir les porter. » lui répondait le beau brun. Sara haussa un sourcil, l'observant de haut en bas -enfin, de haut en milieu, vu que la table intervenait au niveau de la taille-, comme jaugeant la marchandise. « Je crois que t'es trop jeune pour supporter ma sexyness, mais c'est bien essayé. » Bah quoi ? Elle n'allait quand pas pervertir plus jeune qu'elle... Cependant, sa réponse ne l'empêcha de se pencher vers lui et de lui demander, les yeux brillants : « Mais je promets que si tu me les achètes, je te montrerai un portrait de moi où on verra les bretelles. Enfin... » Elle réfléchit un instant avant d'ajouter : « Y'a un modèle où y'a pas de bretelles, du coup tu verras que mes épaules. Faudra pas que tu t'imagines que je suis à poil en-dessous, hein. Ça pourrait te faire un drôle d'effet. » Avec un petit rire, elle s’adossa à nouveau à sa chaise, buvant une gorgée de vin.

La conversation devint rapidement plus sérieuse. Après tout, Sara, aussi blonde soit-elle -et elle est brune, en fait, donc ma gueule-, se doutait qu'il ne lui avait proposé de la voir pour lui parler shopping, lingerie et dentelles. Dommage, elle avait justement repéré une paire de Louboutin qui... Comment ça, chut ? Elle partit donc dans un petit monologue, répondant aux diverses questions posées par son ami. Elle fini dans un éclat de rire après avoir essayer de prétendre avoir été une étudiante sérieuse durant sa scolarité. De qui se foutait-elle ? Bah d'elle-même, pour commencer. Et Felipe ne manqua pas l'occasion pour lui faire une remarque. « En effet, tu n’es pas très crédible en disant cela, quand je me souviens de l’élève que tu étais à cette époque… » S'arrêtant subitement de rire, Sara lui lança un faux regard hautain. « Je ne vois pas de quoi tu parles », commença-t-elle en prenant un accent britannique des plus bourgeois -bon, en réalité, c'était toujours assez italiannisé, ce qui donnait un mélange improbable. « J'étais une étudiante modèle, je ne manquais aucun cours, je faisais tous mes devoirs et j'avais toujours des O. La force du travail et de l'acharnement, que veux-tu... J'ai passé toutes les soirées de ma jeunesse à potasser. D'ailleurs... » Elle désigna son verre d'un geste du menton. « C'est la première fois que je bois de l'alcool et je trouve ça répugnant ! » Elle fit une grimace alors que son regard s'était porté sur son verre. Perdant toute crédibilité, elle en attrapa à nouveau le pied pour en boire une nouvelle gorgée. « Oui, absolument immonde, je faisais que vérifier. »

Mais, trêve de plaisanterie, elle lui demanda de ses nouvelles. Car c'était quand même plus important que la lingerie, l'alcool et même les Louboutin. « Tout va bien dans une certaine mesure. Mes amis me trainent encore plus souvent en soirée pour me changer les idées mais, ce n’est pas trop mon délire en ce moment. Je pense que c’est assez normal en vu des de ce qu’il s’est passé ses derniers mois mais, j’essaye de survivre. On veille sur moi, me pouponne presque, si j’avais su, j’aurai joué cette carte de gars un peu paumé pour recevoir toute l’attention de ces dames, c’est très plaisant tout cela. » Sara le regardait gravement au fur et à mesure qu'il parlait, ne se laissant pas réellement berner par son rire. C'était une façade, et elle le connaissait un minimum, depuis le temps. Haussant les épaules, elle répondit : « Tes potes sont cools, mais pense à toi avant de penser à eux. Pense à ce dont t'as besoin. Si c'est de calme, prends toi du temps au calme. Si c'est de faire la fête, suis-les. Si c'est de m'acheter de la lingerie... » Elle s'arrêta en route en levant les mains, rieuse. « OK, j'arrête. » Et, plus sérieusement, elle reprit : « Et dernière chose, si une fille t'accorde son attention juste parce que tu vas mal, alors tu pourras en faire qu'un plan cul. Enfin, je dis pas, hein, les plans culs c'est bien, hein. » Petite dédicace au passage, même si elle se demandait pourquoi elle parlait de ça avec un jeune homme qu'elle considérait comme un petit frère. On parlait de ces choses-là en famille ? Encore une réponse qu'elle n'avait pas, mais passons. « Mais réfléchis à toi d'abord » le désigna-t-elle de l'index, l'air on ne peut plus sérieux -flippant, vous dites ? Felipe, lui, reprenait déjà, visiblement bien déterminé à ne pas plomber l'ambiance. « Prête à faire la fête ce soir avec moi ? A moins bien entendu que tu ais d’autres projets ? » Pourtant, plombage d'ambiance ou pas, il y avait des choses qui avaient besoin d'être discutées entre amis. Comme par exemple, l'état de l'un ou de l'autre, surtout lorsqu'une épreuve pareille s'abattait dessus. Sara ne put s'empêcher de hausser un sourcil, reprenant ses dernières paroles. « Je suis toute à toi. Si t'as envie de faire la fête, on fait la fête. Si t'as envie qu'on parle, on parlera. Et si t'as envie de m'acheter de la lingerie, c'est la boutique sur Regent's Street... » Toujours le plus sérieusement du monde, bien entendu.

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Message(ϟϟ) Sujet: Re: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptyVen 9 Mai - 21:48

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I need to talk to you, my friend
Feat Sara Costantini & Felipe V. Cananuava



Il n’avait pu s’empêcher de répondre aux taquineries de son amie pour détendre l’atmosphère. Cela était plus aisé de parler de futilités que de ce qui le tracassait réellement. Ce qu’il ressentait, il le gardait sagement confiné dans sa poitrine au sein de ce cœur bien trop lourd et empli de mélancolie. La bonne humeur de Sara était communicative et son esprit se laissait amadouée par l’exubérance et la malice de la demoiselle. Ils en venaient même à parler de petites dentelles. Un sujet sur lequel il ne tarissait pas tant il se trouvait un expert en la matière. Ce n’était peut être pas le talent le plus reluisant qu’il pouvait avoir mais, il avait le mérite d’amuser la galerie et l’ensemble de la gente féminine, qui pouvaient assurer se moquer de lui en le traitant de petit pervers. A quoi bon nier, ce qu’il savait déjà ? Il plaisantait donc sur le sujet avec la demoiselle, venant même la taquiner pour tenter sa chance. Qui sait peut être que Sara ne verrait aucun inconvénient à lui montrer ses sous-vêtements. Il n’y avait rien de préjudiciable, non ? Une idée qui ne semblait nullement venir en accord avec les pensées de la demoiselle qui le jugea avec attention. Elle pensait qu’il était trop jeune pour supporter sa sexyness mais il avait bien remarqué. Une phrase dit avec présomption qui le fit rire naturellement de bon cœur. Elle lui promettait néanmoins que s’il lui achetait ce qu’elle voulait, elle lui montrerait un portrait d’elle où il verrait les bretelles. Cependant, parmi les modèles en question, il n’y avait pas de brettelles donc du coup, il ne verrait que ses épaules. Du coup, il ne devrait pas s’imaginer qu’elle est nue dessous parce que sinon il n’allait pas pouvoir s’en remettre. Il rit de bon cœur à cette dernière avant d’aborder le réel sujet qui l’intéressait.

Un sujet auquel il n’obtint pas la réponse souhaité, se sentant légèrement frustré dans une certaine mesure. Cela signifiait qu’il devait travailler d’autant plus et se faire connaitre. C’était inévitable bien entendu et il se promit de se concentrer sur cette tâche, il le devait s’il souhaitait compter prendre son destin en main et avoir une situation convenable pour fuir Poudlard. Un sujet vite clos pour poursuivre sur un autre de nouveau moins sérieux : les fêtes de Poudlard. Il vint naturellement la taquiner à ce propos, riant de sa réaction tant elle ne se trouvait pas crédible du tout mais, c’était si amusant de la voir agir ainsi, que ça lui mettait du baume au cœur. Cela lui faisait du bien de passer du temps avec elle, elle parvenait à lui faire oublié qu’il traversait une mauvaise passe et cela le ravivait totalement. Elle lui faisait prendre un bon bol d’air frais et c’était résolument merveilleux. Ainsi, il pu aborder plus posément son état d’esprit actuel. Il préféra en plaisanter, se plaignant avec humour même s’il devait reconnaitre que son cœur était relativement malmené en ces temps difficiles. Il tenait, c’était déjà ça et il préférait montrer une facette plus souriante que celle que lui dictait son cœur. Il ne voulait pas s’apitoyer sur son sort, quand bien même avait-il du mal à se remettre du choc qu’il avait subit. Il aimait l’aisance et la facilité qu’avait Sara de le faire rire en lui disant des choses si sensées, si sérieuses.

« Bien, maman ! » Vint-il s’exprimer dans un rire afin de la taquiner à son tour. Il devait reconnaitre qu’il ne pensait pas trop aux femmes en ce moment. Lorsqu’une jeune femme s’intéressait à lui lors de ces soirées, il se contentait seulement de flirter, partager quelques baisers. Il n’avait pas envie de plus, du moins pour le moment.

Il lui proposa donc si elle était prête à faire la fête avec lui. Il ne comptait pas se laisser miner le moral surtout en compagnie de sa tendre amie. Cette dernière vint  hausser un sourcil en affirmant qu’elle était toute à lui, pour faire ce qu’il voulait, quitte à aller dans la boutique sur Regent’s Street. Son ton était si sérieux qu’il ne pu que rire, ajoutant dans un doux sourire.  « Adjugé vendu pour la boutique sur Regent’s Street. Je serai le premier homme à t’acheter de la lingerie et promis, je me contenterai de tes portraits… » Il soupira, l’air dépité en ajoutant.  « Quelle perte pour moi. J’ai presque l’impression de me faire avoir dans cette histoire. » Il ria de bon cœur en venant finir son verre pour se lever, tendant la main à Sara pour lancer dans un ton doux et amical.  « Ce soir, je serai ton chevalier servent. Tu as beaucoup de chance… quoi que je ne sais pas qui est le plus chanceux de nous deux. » Il ponctua ses paroles par un clin d’œil à son amie, attendant qu’elle veuille bien accepter sa main.

HRP : Je m'excuse mil fois pour le temps que j'ai mis à te répondre, je m'excuse humblement auprès de toi, surtout que ma réponse est pas sensationnelle, je tâcherai de me rattraper, promis TT.



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Message(ϟϟ) Sujet: Re: I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini EmptySam 17 Mai - 18:30

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Sara n'était pas du genre à refuser une proposition de sortie, et encore moins lorsqu'il s'agissait de rejoindre un ami. Felipe, au delà de l'ami qu'il était à ses yeux, était devenu un petit frère de cœur, et pour rien au moins elle n'aurait manqué une occasion de le voir. Les opportunités de passer un peu de temps ensemble étaient difficiles, parce que les deux avaient un emploi du temps relativement différent. Ils n'en demeuraient pas moins des amis très proches, et à aucun moment Sara n'aurait imaginé sa vie sans lui, sans savoir qu'elle serait amenée à le voir prochainement et à échanger quelques boutades avec lui, comme ils savaient si bien le faire. Pourtant, cette fois-ci et depuis qu'elle avait croisé son regard à son arrivée, la brunette sentait que quelque chose clochait. Peut-être qu'il avait simplement manqué l'heure du café ce matin ou qu'il avait perdu une des jumelles de sa paire de chaussettes préférée, mais même en s'efforçant d'essayer de se rassurer, elle n'arrivait pas à se dire que ce qu'elle lisait dans ses yeux était aussi superficiel. Quelque chose n'allait vraiment pas, et elle avait tout de même son idée de ce qui pouvait le tracasser. Il traversait une phase qui n'était réellement pas des plus drôles, et pourtant, à chaque fois, Sara espérait naïvement qu'elle le retrouverait dans le même état qu'avant, avant que tout cela n'arrive. Elle espérait le retrouver un peu plus innocent, et ne plus lire dans son regard la douloureuse empreinte de ce qui s'était passé, et de ce qu'il endurait encore jour après jour. Mais elle savait que ces douleurs là ne disparaissaient jamais. Elles font partie de votre vie, et vous vous en accommodez, parce que vous n'avez pas réellement le choix. Peu à peu, vous vous immunisez contre elles, mais il restera toujours une douloureuse cicatrice. C'était pour toutes ces raisons-là qu'elle s'efforçait de rester elle-même, parce qu'elle savait que c'est ce qu'elle faisait le mieux. C'était une constante, et changer les idées de Felipe, quelles que soient les raisons de cette ombre dans son regard, n'était jamais de trop. « Bien, maman ! » approuva-t-il lorsqu'elle lui donna quelques conseils plus sérieux que ceux de lui acheter de la lingerie. Elle eut un petit geste de la tête, satisfaite d'avoir fait passer son message. L'entendre rire n'était pas de trop non plus, mais le principal était qu'il avait entendu ce qu'elle avait à dire. Elle ne souhaitait que le meilleur pour lui, et, même si ça lui faisait du mal de l'admettre, étant la doyenne des deux, elle avait vécu un nombre assez important d'expériences pour connaitre l'intention de certaines personnes et les besoins égoïstes que l'on peut parfois ressentir. Il n'y avait aucune honte à avoir besoin de temps pour soi, et c'était un des messages qu'elle essayait de faire passer là. « Parfait, si t'es vraiment sage, t'auras peut-être un dessert ce soir », appuya-t-elle, satisfaite, avant de froncer les sourcils en se penchant vers lui. « Enfin, c'est pas un langage codé. Je parle vraiment d'un dessert. Qu'on mange. Un truc sucré. Avec du chocolat -le chocolat, c'est toujours mieux. » Voilà. Maintenant, tout possible sous-entendu était dissipé. Elle n'était pas contre un dessert en privé avec un bel homme... Mais pas un petit frère. Quand même. Elle savait garder ses sous-vêtements devant certains mâles.

Faire la fête, par contre, c'était dans ses cordes. C'était toujours dans ses cordes, et encore plus lorsqu'il s'agissait de passer un peu plus de temps avec Felipe. Faire la fête ou faire les boutiques, d'ailleurs, en fait. Eh bien oui, Sara ne perdait pas le nord. « Adjugé vendu pour la boutique sur Regent’s Street. Je serai le premier homme à t’acheter de la lingerie et promis, je me contenterai de tes portraits… » Marquant une pause, Sara finit par dire, le plus sérieusement du monde : « qui a dit que tu serais le premier à m'acheter de la lingerie ? ». Arquant un sourcil, elle eut un sourire malicieux. La voir dans de la lingerie fine avait satisfait plus d'un homme, et il ne paraissait donc pas invraisemblable -ou même présomptueux- que l'un d'eux lui en ait offert à l'occasion. « Quelle perte pour moi. J’ai presque l’impression de me faire avoir dans cette histoire. » regrettait le brun. Pouffant en écho au rire de son ami, Sara répondit : es portraits… » Marquant une pause, Sara finit par dire, le plus sérieusement du monde : « Si c'est juste presque, ça va, alors. » Pas le temps de prendre ou de perdre plus de temps. Déjà il s'était levé, lui tendant la main pour l'inviter à en faire de même. «  Ce soir, je serai ton chevalier servent. Tu as beaucoup de chance… quoi que je ne sais pas qui est le plus chanceux de nous deux. » Avec un sourire complice, Sara finit son verre et se leva avant de demander : « tu parles comme ça aux femmes et t'as toujours pas de fiancée ? » Ouais, y'avait un truc qui tournait pas rond. Il était le combo de tout ce qu'une jeune femme pouvait rechercher en terme d'idéal masculin. Attrapant sa main brusquement, elle se dirigea vers le bar pour payer leurs consommations. Bien qu'avec le monde présent, elle était sûre qu'ils auraient pu partir sans se faire remarquer... ce n'était pas son genre. Pas aujourd'hui, en tout cas. Elle s'accouda au bar et attendit patiemment qu'un barmaid lui prête un peu d'attention. « Je paie. Toi faut que tu gardes un peu de sous pour mes ensembles. » Très sérieuse, elle reporta son attention sur le barmaid qui la fixait, un petit sourire en coin. « Qu'est-ce que je peux faire pour vous ? » demanda-t-il alors qu'elle pencha la tête, les sourcils froncés. « Nous laisser partir sans payer, mais je suis pas sûre que ça soit possible. » Elle commença à fouiller son sac, tout en désignant de l'index la table qu'ils venaient de quitter. « Et c'est madame qui paie ? » s'enquit-il. « Mademoiselle. Et ça dépend si vous me forcez à payer... » Tentant le sourire malicieux, Sara se sentit obligée d'ajouter : « Monsieur ici présent doit garder ses économies pour me payer de la lingerie. »

HJ : T'inquiètes, ça arrive, ne t'en fais pas <3 Et ta réponse était très bien ! J'espère que la mienne te conviendra, mais si quelque chose ne va pas, n'hésite pas à me mp  I need to talk to you, my friend | PV Sara Costantini 74552 

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