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 Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy.

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Message(ϟϟ) Sujet: Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. EmptySam 27 Nov - 17:46

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Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. 506582Ed_Westwick__3_
Rafael & Hope
« La vie nous offre parfois des surprises dont on ne veut pas.

La semaine avait été éprouvante pour la demoiselle. En effet, elle avait franchement besoin de vacances. De repos. Les études, c'était vraiment crevant, à certains moments. Trop réfléchir devrait être nocif pour la santé. Aujourd'hui, elle avait décidé de ne rien faire. Absolument rien. Ni ranger ses affaires qui étaient éparpillées un peu partout, ni apprendre quoi que ce soit, ni même lire quoi que ce soit. Elle avait simplement envie d'un dimanche tranquille. Sauf qu'elle n'allait pas se contenter de rester là, les bras croisés à se tourner les pouces - Si, si, on peut faire les deux en même temps -. Il fallait quand même qu'elle sorte. Elle s'est alors habillée et après le petit déjeuné, elle a enfilé une veste chaude, mis une écharpe grise.. Puis le bonnet et les gants de la même couleur. Elle était d'ailleurs exclusivement habillée de gris, qu'ils soient plus ou moins clairs.

Il faut dire que le moral de la jeune femme n'était pas au beau fixe. Il n'y avait pas que cette histoire de cours qui l'embêtait. Il y avait aussi cette fille qui lui avait prédit un avenir avec Nolan.. Un avenir du style : Vous vivrez heureux et aurez beaucoup d'enfants. Quelle horreur ! Elle ne s'imaginait pas une seule seconde vivre avec lui. Encore moins avoir des gosses avec lui ! C'était sûrement un prédiction en l'air, puisque la fille en question était quelque peu bourrée.. Mais sa transe avait l'air si vraie.. Que Hope en faisait des cauchemars. Et c'était exactement ce qui s'était passé cette nuit là. Pour vous dire que c'était vraiment un affreux. Rien que repenser à ces images l'horrifiait. Même son subconscient n'aurait pas dû penser à ça.

Bref, miss Brighton s'est mise en route. Mais pour aller où exactement ? Elle avait d'abord pensé au lac, mais elle savait qu'elle avait trop de chance de tomber sur quelqu'un. Or, elle voulait être un peu seule. Elle se décida alors à se rendre à Pré-au-Lard.. Elle a traîné quelques temps dans les boutiques, tout de même. Puis a prit la route de la Cabane Hurlante. Là, au moins, elle serait plus au calme. Sur le chemin, elle s'est rendu compte que le ciel commençait tout juste à s'assombrir. En effet, elle s'était lever à quinze heures.. Elle failli faire demi-tour alors qu'elle était presque arrivée à destination, mais elle se résigna. De toute manière, elle rentrerait de nuit, alors autant profiter de la balade - même si elle avait de drôles envies de promenades -.

Elle est arrivé au début du sentier qui menait à la Cabane.. Mais elle ne l'a pas emprunté. Elle aimait contempler la bâtisse, mais ne préférait pas s'y risquer seule. Oui, on peut tout à fait être méfiant et prudent, n'est-ce pas ? Et ce n'était pas vraiment de la peur, c'était plus quelque chose qui ressemblait à : On ne sait jamais ce qu'il peut y avoir là-bas la nuit tombée, on ne va pas perdre la vie bêtement. Oui, ce devait être ça... Mais Hope n'a pas eu le loisir de penser à cela beaucoup plus longtemps. Elle venait d'entendre des pas.. Elle pensa tout d'abord à un simple animal.. Puis à toutes sortes de créatures qu'il ne valait mieux pas rencontrer de nuit.. Mais ce fut simplement Rafael qui apparu. Instinctivement, elle a soupiré. Il se balade la nuit, comme si c'était normal, et il n'était pas un vampire ? Mais l'absurdité de sa pensée l'a frappée. Elle même se trouvait dans les même conditions que le jeune homme. Elle ne pouvait donc rien prouver du tout. « Alors, on se balade le soir tombé ? »
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. EmptyLun 20 Déc - 14:47

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Assailli par la faim, je retrouvais mes instincts d'animal : d'une brutalité sauvage et d'un caractère sombre, je repoussais tous mes camarades pour ne pas succomber à la tentation de leur sauter au cou. En cela, on me qualifiait d'asocial, de solitaire, de farouche... de dangereux également. Et le mystère de ma facette lunatique gagnait à ne pas être dévoilée ; je ne voulais pas qu'on découvre ma condition vampirique, condition que je haïssais tant, je désirais rester ici, à Poudlard, et terminer mes études sans craindre de me faire renvoyer une fois que le reste du monde connaîtrait mon secret. Je désirais mon diplôme, moi qui avait arrêté à la septième année avant de partir faire mes preuves à la guerre : lorsque j'étais encore vivant et que mon palpitant battait encore, j'avais eu dans l'optique de gagner contre les allemands, de retourner au pays, et de finir mes études. Ce n'était qu'aujourd'hui que j'accomplissais ce que je m'étais promis. Malheureusement, l'humain que j'avais été courbait sous le poids du vampire que je demeurais à présent : certes le traitement apaisait ma soif et ma bestialité, mais pas assez pour contenir la fougue de mes jeunes années. Je ressentais le besoin d'hémoglobine, de sang frais et de chair brûlante sous mes crocs d'acier, je désirais encore m'abreuver des cris et supplications de mes victimes, en somme, j'aimais être prince le jour, et bourreau la nuit. C'était ainsi ; contrôler l'incontrôlable n'était guère chose aisée, et c'est pourquoi il m'arrivait de chasser mon gibier dans les villages voisins. Toujours discrètement, toujours sur de pauvres proies insignifiantes dont personne ne se soucierait guère : des touristes de passage, des ermites, des personnes seules, voire des enfants insouciants perdus dans l'immensité de la forêt. Je n'épargnais personne, et me faisais monstre pour la seule gloire de mon appétit virulent qui s'attisait les soirs de pleine lune. Chaque mois, j'avais donc mon rituel sanglant qui faisait tomber une victime ou deux. Qu'ils reposent en paix, et que j'aille au diable : je préférerais cent fois l'enfer sous terre que les géhennes que j'affrontais dans le monde des vivants. Perdu entre la vie et la mort, condamné à cacher ma vraie nature à des mortels qui ne me comprenaient pas, et que je ne cherchais pas à comprendre outre mesure.

Ce soir, c'était la pleine lune. Ma faim tenace m'avait poussé à me lever et gagner les landes de Pré-au-Lard ; j'avais réussi à pénétrer une vieille maison aux planches bancales abritant une femme seule et tranquille. La pauvre quarantenaire au cou gracile n'avait pas vu l'ange de la mort arriver : à peine lui avais-je soufflé un bonsoir dans un sourire narquois et carnassier, que mes crocs s'étaient planté dans sa jugulaire, la vidant de son sang durant de longues et terribles minutes d'agonie. Elle avait souffert, mais bien moins que les proies avec lesquelles je jouais à mon habitude. Il m'arrivait de les regarder mourir lentement, attendant qu'ils ne lâchent leur dernier souffle et qu'ils ne me supplient de les achever. Chose que je ne faisais bien sûr jamais : j'aimais les voir me supplier. Les êtres humains sont lâches, les êtres humains sont pathétiques, les êtres humains sont méprisables. Ramper aux pieds de leur assassin ne leur arrache pas un seul gémissement de dégoût, alors que tendre la main à leur prochain leur paraît inutile. Je n'aime pas les mortels, du moins pas tant que j'ai pu y planter mes crocs. Asocial, vous dis-je.

Ainsi je me redressais d'un port princier, toisant le cadavre de ma victime avec mépris. J'espérais sincèrement que cette vieille femme n'avait aucun proches vraiment aimant, afin que son corps pourrissant pendant plusieurs semaines ne conserve plus les traces de mes crocs plantés dans son cou délicat. Sans doute finirait-elle dévorée par ses chats ; pensée brodée d'humour noir qui m'arracha un bref sourire. Non je n'étais pas complètement un monstre : repu, j'avais des sentiments. Je commençais à apprécier le peu d'amis que je me faisais à Poudlard, et avais même des vues sur une demoiselle qui me fuyait lamentablement. Mais assoiffé, je ne répondais plus de moi, il me semblait qu'en moi dormaient constamment l'humain et la bête, se réveillant lors de moments cruciaux. Sans me poser plus de questions, je sortai de la demeure isolée et vins rejoindre la cabane hurlante, chemin discret idéal pour rejoindre le château sans se faire remarquer. Du moins, j'en étais persuadé. Car à peine empruntais-je le chemin vers la cabane poussiéreuse, que j'aperçus bientôt une ombre familière dans mon champ de vision. Ma vue aiguisée me permit de reconnaître la jeune Hope bien avant qu'elle n'ait pu m'apercevoir dans l'ombre de la nuit dense, et je fronçais déjà les sourcils d'agacement lorsque je compris qu'il était inutile de faire un détour. La Serpentarde trop curieuse finirait par m'apercevoir et se poser bien trop de questions si elle me soupçonnait de la fuir. Je m'approchais donc de cette dernière, essuyant au cas où le coin de mes lèvres blêmes d'une revers de main afin de m'assurer qu'aucune tâche de sang ne les souillait alors, et restais volontairement en dehors de la lumière lunaire. « Alors, on se balade le soir tombé ? » « J'arrivais pas à dormir. » soufflais-je alors d'une voix sèche et agacée. C'était quoi cette manie de me poser toujours autant de questions ? Je n'approuvais pas cette façon qu'elle avait de me garder à l'oeil, en un sens je me demandais même si je ne devais pas écarter cette indésirable. « Le coin n'est pas à toi, que je sache. Va prendre l'air ailleurs si ça ne te plait pas. D'ailleurs, je te retourne la question. » Toujours aussi chaleureux et sympathique : c'était à se demander pourquoi je comptais mes 'amis' sur le doigt d'une seule main....
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. EmptyJeu 23 Déc - 21:43

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La scène avait l'air tout droit sortie d'un film. Un film d'horreur, même. Un mec ténébreux, une pauvre fille sans défense, ou pas, et tout cela à l'orée d'une forêt la nuit tombée. Et toute personne normalement constituée serait partie en hurlant. Et en courant, cela va sans dire. Mais Hope, même si elle restait méfiante - ce qui était toujours le cas - n'avait pas l'intention de fuir. Premièrement parce qu'elle considérait cette réaction comme purement stupide. Et deuxièmement parce qu'elle ne supportait pas ces films moldus censés vous foutre la frousse de votre vie. Et puis, si Rafael avait vraiment voulu lui sucer le sang, il est logique qu'il l'aurait fait depuis longtemps. Même si la logique n'était pas toujours de mise dans ce genre de situation, Hope ne le craignait pas vraiment.

« J'arrivais pas à dormir. ». Bah voyons ! Elle n'y croyait pas une seule seconde, mais n'avait aucune preuve de ce qu'elle pensait. Et elle espérait vraiment en trouver une ce soir. Elle croyait toujours dur comme fer qu'il était un vampire. Si ça se trouvait, c'était un monstre qui tuait même pour le plaisir. Un frisson parcouru son dos, devant la vision d'horreur qui venait de s'imposer à elle. Un tout autre Rafael que celui qui se tenait face à elle. Pas juste froid, distant, méprisant... Mais aussi tueur. Elle ne l'avait jamais considéré comme tel avant. Après tout, elle ne savait vraiment pas grand chose de lui. Il cachait merveilleusement bien son jeu. Et c'est cela qui la poussait à chercher la faille qui lui donnerait raison. C'est cela qui la poussait à persévérer, à ne pas lâcher prise. Et malheureusement pour lui, une fois qu'elle avait une idée en tête, il était dur de la lui retirer. Même lui ne pourrait pas.

« Le coin n'est pas à toi, que je sache. Va prendre l'air ailleurs si ça ne te plait pas. D'ailleurs, je te retourne la question. ». Oh mais elle n'avait pas l'intention de s'en aller ! Elle allait rester là et bien insister ! Tout le monde connaît Hope la peste. Rafael allait découvrir Hope l'emmerdeuse. Elle esquissa un léger sourire. Il n'était apparemment pas ravit de la voir là. Et c'était un bon point pour elle. En effet, souvent, plus les gens tentent de cacher quelque chose, plus ils font de petites erreurs. Des incohérences, des positions défensives.. Ce genre de chose. Et miss Brighton espérait que le jeune homme laisse échapper l'un de ces signes. « L'amabilité ça ne te réussi toujours pas, ein. ». Il n'avait pas l'air de vouloir s'aventurer plus en avant. Levant le nez, elle a remarqué que la lune était pleine.. Il lui semblait qu'il y avait un rapport entre les deux.. Et elle décida d'explorer cette possibilité. Malgré l'écart assez important à ses yeux, elle recula de quelques pas. « Tu sais quoi ? J'aime pas la forêt. Avec toutes ces bestioles, ces courants d'airs et puis on y voit rien. ». Elle observa l'endroit où elle se trouvait. « Ici c'est beaucoup mieux, tu devrais essayer. Et puis sourire, ça mangerait pas de pain non plus. ».

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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. EmptyDim 26 Déc - 20:21

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Il était vrai que je n'étais pas des plus agréables ; euphémisme. Ce n'était pas franchement étonnant si je pouvais compter mes 'amis' sur les doigts d'une seule main, au vu de mon caractère exécrable. Mais en vérité ce qui me rendait aussi insupportable avec la belle Brighton, ce n'était que la conséquence désastreuse d'une volonté de me défendre. Cette Serpentarde avait le don de me tourner autour, dans l'espoir de percer mes mystères ; en somme je la soupçonnais de connaître mon secret, et de me forcer à le lui prouver sous les yeux. Peut-être espérait-elle me faire peur avec un crucifix ou me voir exhiber mes canines à la force d'ail brandi sous mes yeux : des clichés stupides qui avaient la vie dure, mais qui pourtant ne semblaient malheureusement pas crédibles aux yeux de Hope, puisqu'elle tentait une toute autre approche pour me faire cracher le morceau. Elle ne me lâchait pas d'une semelle, épiait mes faits et gestes, me soumettait à des questions souvent futiles et provocatrices, dans l'espoir de me faire craquer... Tactique que je devais admettre plus ou moins subtile, mais intelligente, car la demoiselle ne cessait de jouer avec mes nerfs. Et il est bien connu que la colère nous emporte, fait ployer la raison, et fait en sorte que nous ne répondons plus de rien. Je craignais qu'un jour je n'explose et ne déploie mes canines aiguisées pour la faire taire, chose qu'en vérité elle désirait avec panache. Je devais par ailleurs avouer que jouer les parfaits mortels m'était difficile : la preuve en était que je n'arrivais pas même à me sociabiliser avec eux. Même les personnes que j'appréciais le plus, essuyaient mes mauvaises humeurs passagères : plus je les éloignais de moi, et plus ils demeuraient en sécurité. J'étais condamné à errer seul ; c'était ça, mon enfer. Je la toisais donc avec une méfiance déguisée en une froide et sincère hostilité : sur mes gardes, je ne lâchais plus la demoiselle à la beauté éthérée du regard. L'angoisse qu'une seule goutte de sang ne perle au coin de mes lèvres ou de ma chemise immaculée me prenait au coeur, cependant je ne pouvais esquisser un geste, sans quoi miss détective l'analyserait aussitôt. Pourquoi m'avait-on mis Hope dans les pattes, n'avait-elle vraiment rien d'autre à faire ? Mes yeux fauves ne daignèrent pas glisser ailleurs, tandis qu'elle vint me répondre avec amusement. « L'amabilité ça ne te réussi toujours pas, ein. »

Un très bref sifflement arrogant s'échappa de mes lèvres blêmes, trahissant mon agacement et ma non volonté de lui répondre. Je souhaitais juste qu'elle s'en aille et ne vienne pas me coller comme un chien battu auprès de son maître. En toute probabilité, je craignais même sa présence, car l'angoisse qu'elle ne trouve un détail à redire me tordait l'estomac. Mon secret dévoilé, et c'était mon année et mon diplôme qui partaient en fumée : j'avais certes tout mon temps pour le passer, mais je ne voulais pas me le permettre. C'était aussi une question d'honneur et de fierté. J'observais à la dérobée la demoiselle faire alors un pas en arrière, me demandant si elle n'avait pas un quelconque stratagème en tête... Oui, vivre avec des humains me mettait sur mes gardes. Après tout, ne dit-on pas que l'Homme est un loup pour l'Homme, pourquoi épargnerait-il les créatures d'une autre espèce que la sienne ? Je désirais simplement dissimuler mon secret assez longtemps pour repartir d'ici avec mon diplôme en poche, chose difficile avec une fouineuse telle que Hope. « Tu sais quoi ? J'aime pas la forêt. Avec toutes ces bestioles, ces courants d'airs et puis on y voit rien. Ici c'est beaucoup mieux, tu devrais essayer. Et puis sourire, ça mangerait pas de pain non plus. » « Bien alors reste ici. » soufflais-je d'un ton qui vint claquer l'air, tandis que j'avançais en sa direction. Prudent, je préférais passer à ses côtés sans pour autant la regarder : mes yeux bruns fixèrent droit devant eux, car la phobie qu'elle ne perçoive quelques gouttes de sang ici ou là, parcourait toujours mon esprit. Je sentais néanmoins son regard perçant venant brûler mes omoplates, alors que j'étais passé non loin d'elle, en direction de l'entrée maintenant si proche, de la cabane hurlante. Exaspéré, je m'arrêtais alors, avant de me tourner vers mon insistante interlocutrice. « Quoi, qu'est-ce que tu veux à la fin ? C'est quoi toutes tes questions, pourquoi tu me suis partout comme un rentier derrière un portefeuille. Est-ce que si je t'offre un sourire, tu me fous la paix ? » Cynisme quand tu nous tiens... Colère également. Mais puisqu'elle avait fait référence à mon amabilité inexistante, autant lui renvoyer la balle, malgré le peu de calme que je conservais derrière mon effrayante froideur.
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. Vampire y es-tu ? ♣ pv. Rafael B. Levy. EmptyLun 27 Déc - 12:45

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Hope avait beau getter, il n'y avait aucun signe qui trahissait sa nature. Pourtant, ce n'était pas faute de chercher. Elle l'épiait constamment. Comment pouvait-il jouer aussi bien son rôle ? Être si impassible ? Même à elle, il lui arrivait de faire une petite erreur, de laisser échapper quelque chose. Mais lui, rien. Et ça la l'irritait au plus haut point.. Pourtant, si elle ne savait ce qu'il ressentait, elle savait exactement ce qu'elle voulait lui faire ressentir. Elle voulait l'exaspérer, le pousser à bout, faire qu'il s'énerve.. Le problème, c'est qu'elle n'avait aucune idée de si ça marchait ou non. De si elle touchait au but ou non. Et c'est ce qui l'exaspérait, elle.

« Bien alors reste ici. ». Il s'avança, sans la regarder. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi, mais sentait qu'il était un peu tendu. Tendu ? Un point pour elle, sans aucun doute.. Elle avait l'impression d'être sur la bonne voie. Peut-être qu'au final elle parviendrait à lui faire cracher le morceau ? Qui sait ? C'est forte de cet espoir qu'elle le suivit du regard, alors qu'il s'approchait dangereusement de la cabane hurlante. Pourquoi dangereusement ? Et bien, l'équation Rafael + nuit + cabane hurlante, ne lui inspirait pas confiance. Sa main se porta avec automatisme sur le manche de sa baguette, mais elle se reprit rapidement. C'est à ce moment là que Rafael s'était retourné, et elle espérait qu'il n'ai rien vu de son geste.

« Quoi, qu'est-ce que tu veux à la fin ? C'est quoi toutes tes questions, pourquoi tu me suis partout comme un rentier derrière un portefeuille. Est-ce que si je t'offre un sourire, tu me fous la paix ? ». Elle lui offrit un magnifique sourire plein d'ironie, comme elle en avait le secret. Vous savez, le sourire suffisant ? Celui qui dit "je t'aurais un jour !", celui qui montre qu'on se sent supérieur. Ce sourire, exaspérant au possible. « Désolée mon grand, les sourires c'est juste pour mettre un peu de gaité dans cette conversation.. Aller lâche toi un peu ! Détends toi ! On dirait que t'es figé dans le marbre.. Et franchement, ça ne te réussis pas ! ». L'allusion à l'immortalité était bien préméditée, ne voyez pas le fruit du hasard là-dedans. Elle s'est ensuite approchée de lui, l'air de rien, le sourire toujours sur les lèvres. Une fois face à lui, elle l'a poussé. Elle finissait par s'amuser de la situation, se fichant des conséquences. Alors qu'au départ elle était prudente, elle avait décidé de se foutre de ce qui pouvait arriver.

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