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 Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you

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Message
Message(ϟϟ) Sujet: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptySam 22 Oct - 23:22

Invité

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Invité


♛ Prologue
I'm finally coming home
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
“I can't listen to that much Wagner. I start getting the urge to conquer Poland“
ft. ed westwick

ID N° L.125A.82
Rafael Blake Levy
20 ans d'apparence ϟ Année universitaire 2 ϟ Vampire
Infos personnelles
♛ Nom: Levy
♛ Prénom(s): Rafael Blake
♛ Surnom(s): Inconnu
♛ Date de naissance: 21 mars 1895
♛ Lieu de naissance: Londres
♛ Nationalité: Anglais
♛ Qualité du sang: Mêlé
♛ Race/Don: Vampire
♛ Quotient magique: 79
♛ Appartenances: Aucune
♛ Signe particulier: Charisme exacerbé. Et faculté innée à avoir raison, même quand il a tort.
♛ Péché: La luxure. Voilà qui est fâcheux pour un gentleman ne supportant pas les filles de joie... Plus encore, c'est la Gourmandise qui suit ce premier péché de près.

Informations étudiant
♛ Maison: Serdaigle
♛ Année/études: UFR 2
♛ Cursus: Sciences politiques
♛ Options choisies: Sociologie, criminologie, arts moldus
♛ Baguette: Bois d'If, crin de sombral, 27,2 cm
♛ Patronus: un Ocelot
♛ Epouvantard: Le soleil



♛ Chapitre 1: Chronologie
Story of the impossible


Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Oplc6
I. La Genèse.

1515, cour du roi Henry the Eight, Londres.

« Elle est aussi une sorcière ! Regardez son âme qui empeste les péchés ! » La cour offusquée se tourna vers la jeune fille aux traits purs, dans quelques murmures peu discrets qui bientôt se muèrent en un brouhaha incontrôlable. Isobel du haut de ses dix-huit ans posa sa main fine sur son ventre rond et bombé, dissimulant un hoquet de malaise derrière ses doigts oblongs qui vinrent effleurer sa bouche cerise. Blêmissant avec fougue, la jolie blonde manqua de défaillir sous l'accusation véritable de l'accusée, une femme rousse envoûtant nombre d'hommes par ses charmes certains. Les juges du tribunal relevèrent leurs yeux soupçonneux sur la jeune Isobel, au même titre que l'assemblée, mais bientôt le bruit du marteau de bois tapant avec force sur la table vint calmer l'agitation générale. « Silence dans la salle ! » clama le juge de sa voix féroce et puissante, imposant la passable sérénité des lieux. « Elizabeth Drewberry, vous seule êtes accusée de sorcellerie. Vous êtes condamnée au démembrement sur la place centrale. » La jolie rousse, sur ces dires qui soulevèrent autant de hauts le coeur que de sourire narquois dans l'assemblée curieuse, se retourna de nouveau vers la blonde aux airs candides, une lueur démente venant luire dans ses yeux émeraudes. « Si je tombe, tu tomberas aussi, Isobel. Car je te maudis, toi et tes descendants mâles ! Jamais ils ne passeront le cap de leurs vingt ans, ta descendance devra veiller sur la sépulture de ses fils, génération après génération. » L'assemblée de nouveau, vint chuchoter quelques murmures de terreur qui se muèrent en des conversations plus agitées, sous le regard impuissant des juges aux bouches entrouvertes, rendues muettes par l'angoisse. Et la rousse trépigna sous les yeux humides de la jolie blonde prête à défaillir ; elle paierait pour ne pas avoir défendu ses paires, pour ne pas l'avoir défendue elle, la sulfureuse Elizabeth Drewberry, pour avoir osé clamer haut et fort que cette dernière n'était qu'une folle à ainsi l'accuser être sorcière, elle aussi. Car la jeune Isobel, somptueuse et fraîche, toute de dentelles vêtue et portant la pureté en étendard, n'était pas dénuée de défauts tels que la lâcheté. Accuser pour survivre, nier pour ne pas mourir. Elle avait laissé la populace s'acharner sur sa voisine, préparant sa défense en déchargeant d'avantages de maux sur la rousse au tempérament volcanique : Isobel survivrait grâce à la mort d'Elizabeth. Pour une sorcière de condamnée, c'était des années de sérénité à venir... Et la candide blonde ne souhaitait plus que de voir son enfant naître dans le plus doux confort qui puisse exister : la sécurité. Serrant la main de son tendre époux, elle accusa la dernière terrible malédiction lancée sur sa propre famille. « Puis à l'aube du quatre centième anniversaire de ma mort, ton dernier descendant mâle souffrira comme je souffrirais au coucher du soleil. Accueille les litanies, Isobel ! Tu paieras ta lâcheté par l'agonie de ton nom qui périra à jamais dans quatre siècles. Jour pour jour, heure pour heure, souffrance pour souffrance. » La magnifique femme au cheveu safran vint secouer son corps fébrile d'un rire aliéné qui affola les gardes, se précipitant avec néanmoins quelques gestes hésitants vers la rouquine. Isobel vint perdre connaissance sous un tôlée général et fut aussitôt évacuée par quelques personnes bienveillantes qui ne crurent pas en l'accusation de l'horrible Drewberry. Isobel était bien trop belle, bien trop généreuse, bien trop douce et bien trop pieuse pour se prêter aux moeurs démoniaques de la sorcellerie.

Ainsi le tribunal joua en la défaveur de la rouquine qui mourut le soir même ; la légende à son sujet raconte que la femme vira folle, une fois allongée sur son instrument de torture. Et que chaque sanction veillant à mutiler son corps ne lui arracha plus que quelques rires venant remplacer les cris de douleur. L'on dit aussi que le mari d'Isobel lui-même resta sceptique quant à cette malédiction qu'il clamait de bas étage. Vingt ans plus tard, l'enfant né de la jolie blonde aux airs séraphiques décéda d'un infarctus.


II. Fools and tears.

21 Mars 1895, Londres.

« C'est un garçon. » « Non. » souffla la jeune mère au corps fatigué par l'accouchement. « Non. » rajouta-t-elle dans des larmes timides qui vinrent se faire torrent humide sur ses joues si fraîches. « Il mourra. Il mourra dans vingt ans, comme tous les autres. » Et l'homme à ses côtés, ne daignant pas croiser le regard étonné du médecin considérant que la fatigue de la jeune mère lui avait sans doute prêté un grain de folie, vint serrer sa main d'une poigne tendre et amoureuse. Ses yeux noisettes se posèrent sur l'enfant encore rougi du sang maternel, posé sur le ventre de la mère éplorée. « Il s'appellera Rafael. Dieu aime ses anges, Il lui donnera la foi de tout surmonter. » « Ta religion ne le sauvera pas, Alexander ! La foi n'a jamais sauvé ma famille. » Et la jeune femme de s'effondrer en larmes avant d'enlacer son enfant bientôt baloté de bras en bras, entre infirmières confirmées qui l'amenèrent à la nurserie. Là où, visiblement, il serait en sécurité : loin d'une mère folle et d'un père catholique. Que deviendra ce pauvre enfant qui ne serait même pas protestant ?, se demandèrent alors les infirmières moldues, non sans manquer de railler la pauvre madame Levy, étrange et paranoïaque.

***

1901, Londres.

Il pleuvait, ce jour-là, la pluie battante tambourinait contre les vitres de ma chambre que je toisais d'un air agacé et passablement énervé. Je n'avais que six ans, et pourtant j'étais déjà un enfant qui savait ce qu'il désirait ; et en l'instant ce que je ne voulais pas, c'était que la pluie diluvienne londonienne ne s'étende. J'avais besoin de soleil réchauffant ma peau pâle, et pire encore j'avais besoin de combler mon ennui. Assis sur le rebord de ma fenêtre, je fixais en maugréant le paysage humide, me moquant de temps à autres du sort de ces pauvres passants éclaboussés par une flaque sur le passage d'une voiture et d'un conducteur railleur. Mais je soupirais, encore et encore, faisant tourner un stylo entre mes doigts ; je haïssais les dimanche plus encore que je haïssais la pluie. Car ce jour-là, me disait-on dans la famille aux moeurs bien élevées, était le jour de repos aussi je n'avais pas droit d'aller quémander les camarades de mon âge chez le voisin. Et parce que j'attribuais mon père comme unique responsable de mon ennui puisqu'il ne voulait pas que j'aille me salir au dehors en compagnie de mes amis, je scandais alors un "Je m'ennuie ! " furieux qui je le sais, ferait rire ma mère mais ferait sortir mon père de ses gonds. Par ailleurs la réponse ne tarda pas à arriver et il me hurla en contre-bas de l'escalier quand moi je ne sortais pas de ma chambre un "ouvre un livre" qui m'exaspéra. Fronçant le nez, je claquais ma langue contre le palais, agacé par la réponse que j'avais pour autant anticipé. Mon père était un homme qui aimait la perfection, et le fils unique que j'étais, atteint de ce que ces adultes appellent précocité intellectuelle, lui permettait de mener à bien son désir de perfection absolue. En me voyant à l'oeuvre, en me faisant étudier, il poussait mon cerveau à emmagasiner trop de savoir, de peur peut-être que je ne régresse. L'ennui me fut mortel ; tête posée contre le mur du renfoncement de la fenêtre, je m'assoupis alors.

Ce rêve encore et toujours ; quand la peur nous assaille car nos doigts se rétractent de leur propre chef, c'est que l'âme est là, d'un fantôme muet, pointant son nez dans l'ombre. Je m'avançais entre les tombes grises, narguant l'étendue de ces plaines brumeuses et froides : je n'avais pas peur, malgré ces sépultures de pierre glacées se dressant dans des ombres inquiétantes. Puis mon regard chocolat passait d'épitaphes en épitaphes, jusqu'à ce que les noms gravés à moitié effacés par le temps, ne se fassent de plus en plus oppressants. ' A mon fils ', ' à mon enfant ' , accompagnaient les noms figés dans la pierre : Levy. Ici, là, partout en vérité, des sépultures de jeunes garçons portant le même patronyme que moi. Lentement, je m'approchai d'un trou creusé à même le sol, le coeur battant, la gorge serrée, les mains moites : la peur me prenait d'assaut quand je comprenais que ma fin serait proche. Je me stoppais alors, mes yeux d'enfant roi dardant avec arrogance l'étendue de ce trou béant à mes pieds : pour dompter ma peur, j'étais parvenu à dresser ce mur d'outrecuidance agaçante autour de moi. Plus je me montrai insolent, et moins l'angoisse assaillait mes entrailles... Foutaises. Je tremblais de peur sans oser me l'avouer. « C'est pour toi. » Je levais l'ambre de mon regard sur la rouquine me faisant face, allumant de sa baguette les environs obscurs qui vint éclairer l'épitaphe de ma propre sépulture : Rafael Blake Levy, 21 Mars 1895-18 Juin 1915. Puis le rire de l'aliénée devint de plus en plus fort et rauque, alors que je me sentais happé par ce trou sans fond.

D'un bond, je m'éveillais en sueur, le coeur battant et agité ; un tel réveil aussi rude me poussa à tomber de mon petit perchoir, et j'échouai lamentablement sur le sol dans un grondement sourd. Me relevant aussitôt, les yeux humides de peur et de colère, je me massai le crâne endolori avant de sortir de ma chambre et de me précipiter vers la cuisine où mes parents m'avisèrent d'une oeillade étonnée se muant en quelques coups d'oeil inquiets. « Je l'ai encore vue ! » fis-je alors haletant, les cheveux en bataille et les habits froissés. « La dame rousse, elle était là et... » Mes yeux d'enfants se posèrent avec une vive interrogation sur le visage blême de ma tendre mère. « J'ai vu des dates. » Ces quelques mots achevèrent de faire fondre cette dernière en larmes, sans que je ne comprenne, alors que mon père tira brusquement sa chaise pour s'accroupir à ma hauteur, me prenant par les épaules. « Je suis un voyant ? » fis-je d'un sourire narquois, ne comprenant pas l'étendue de ces mauvais signes. « Prie, Rafael. » Je fronçais alors les sourcils avant de secouer la tête avec vigueur, plus encore que d'être un enfant désobéissant, je n'avais jamais compris les phobies de mes parents, et encore moins la foi en la religion de mon propre père moldu. « Prie ! » fit alors le prosélyte non sans me secouer les épaules, plus d'angoisse que de fureur. Sans doute pensait-il que ces futiles litanies me sauveraient. « Assistant le Souverain Juge, plaidez la cause de nos crimes, et apaisez la colère vengeresse, fidèle... j'ai pas envie. » Un soupir las s'échappa de mes lèvres insolentes, tandis que je me tournais vers ma mère fébrile. « Maman, ce n'est qu'un cauchemar. Si tu rêves aussi du croquemitaine, on peut en parler tu sais. » Et ma tendre mère, touchée par les paroles de l'innocence, vint étouffer un rire confondu entre deux larmes amères, tandis que je vins me blottir dans ses bras.

III. Here comes a delivery.

1912, Londres.

« Nous avons décidé de te fiancer. »
« Pardon ? »
« Crois-moi ce n'est pas non plus de notre plein gré... »
« Je n'ai que dix-sept ans ! »
« Ce qui te rend majeur dans mon monde. » souffla alors ma tendre mère d'une voix séraphique et peinée. « Tu dois avoir autant d'enfants que possible, avant tes vingt ans. Des fils, surtout. »
« C'est stupide. Toutes ces histoires de malédiction sont des foutaises. »
« Si tu passes cette porte tu n'es plus mon fils ! »

La porte avait pourtant claqué derrière moi, je l'avais passée sans vraiment me soucier de ses mots. J'avais par ailleurs bien fait, car mon esprit analytique avait compris, avant qu'il ne lance ses menaces en l'air, qu'il n'appliquerait rien à la lettre. Son amertume violente n'avait été que pour me protéger. Pour nous protéger. Nous, les Levy, condamnés à ne jamais voir nos descendants mâles vivre plus de vingt ans ; c'était néanmoins ce que ne cessait de scander ma mère affolée. Elle-même avait perdu ses trois frères, n'avait jamais connu ses oncles, n'avait jamais pu voir ses cousins se marier. Elle espérait que la malédiction ne cesse sous mes pas, inquiète néanmoins de compter les siècles qui nous séparaient de notre tortionnaire : dans quelques années, nous fêterions les quatre cent ans de la sorcière vengeresse. Et en digne et dernier héritier, je demeurais celui qui, selon ses dires, mettrait fin à notre nom, à notre sang. Je serais le dernier mâle représentatif de notre illustre aïeule, et viendrais mourir dans les plus atroces conditions... Je n'en avais que faire ; mon esprit pragmatique et mon égocentrisme intenses m'empêchaient de voir les choses avec plus de sérieux. J'étais insouciant, j'étais indiscipliné, j'étais indomptable, j'étais amoureux éperdu de la liberté, j'étais jeune tout simplement. Mes ASPICs en poche, j'avais pour ambition de me hisser parmi les sphères hautes placées du Ministère : mon ambition équivalait ma soif d'apprendre et de savoir, j'avais un appétit démesuré pour les choses nouvelles. Littérature, philosophie, physique, mathématiques et même musique ; j'étais un touche à tout qui ne s'épanouissait que dans l'étendue intellectuelle et la détermination virulente. Toutes les fins justifiaient les moyens, et en cela on me qualifiait de fourbe mais aussi d'observateur. J'étais un paradoxe et une énigme à moi seul : posé mais parfois brutal, cynique mais chaleureux à mes heures, goujat ou gentleman, sensible ou froid, humain ou impitoyable. Dans tous les cas peu bavard, je m'adaptais selon les personnes, selon mes envies, selon mes impulsions. Le monde ne tournait qu'autour de moi et de mes ambitions, j'usais de mon environnement autant que j'utilisais les êtres vivant dans cette sphère. Aucun mot échappé de mes lèvres n'était dépourvu de but, tout avait un sens, tout était calculé. Je pouvais définir la symphonie arithmétique d'une partition, déterminer l'angle physique des astres... Oui je le pouvais, aussi vrai que la logique peut être aristotélicienne, la méthode cartésienne, l'économie marxiste, la psychologie freudienne. Aussi vrai que tout cela. Mais je ne pouvais pas prévoir que mon esprit trop structuré, contrairement à celui trop croyant de mon paternel, m'empêchait de comprendre que ma fin était proche.

IV. Merciful death. How you love your precious guilt.

1915, Londres.


« Dis moi, tu me trouves belle, Rafael ? »
« Tu es magnifique. » fis-je blasé et sans conviction.
« Et bien regarde-moi et enlève ce chapeau avant de me répondre ! »
« Non... Je préfère ainsi, c'est plus reposant pour mes yeux... »
« Tu insinues quoi là ? » Le silence se fit alors que je soupirais, toujours allongé dans l'herbe et mon chapeau sur les yeux, portant de temps à autre ma cigarette aux lèvres. Daisy ne supporta pas mon insolence et renchérit alors, venant de ce fait à piquer ma colère froide et donc mes mots blessants. « Vas-y, je t'écoute ! »
« Que tu n'es pas franchement laide... Tu es bien foutue mais au niveau du visage, avoue qu'il y a mieux... »
« Dis-moi, ça te tuerait d'être moins franc et plus diplomate des fois ? Allez, dis-moi un mensonge un peu ! » fulmina alors la jolie blonde.
« Je t'aime. »
« Tu n'es qu'un sale con, Levy ! »

La belle se mit alors à pleurer, enfouissant son si beau visage dans ses mains fines et tremblantes. Dans un soupir, je me redressai alors, ma culpabilité venant – une fois n'est pas coutume – me prendre d'assaut face à cet ange blond qui demeurait ma future femme. Me penchant auprès d'elle, je vins humer son délicat parfum de lys et de fleur d'oranger avant de déposer un baiser sur sa tempe brûlante.

« Je t'aime moi. »
« Ce n'est pas toi, c'est... »
« … l'obligation d'une hyménée contre ton gré. Je le sais ! Combien de fois tu vas me sortir cette rengaine ? »
« Mais tu me cherches aussi. » J'eus alors un rire léger, tentant de la taquiner quelque peu ; mes doigts tendres vinrent glisser une mèche de ses cheveux derrière l'oreille. J'ignorais pourtant si j'étais amoureux : il me semblait que non. Ma Daisy apaisait mon âme et me faisait sourire, autant qu'elle pouvait faire ressortir le plus mauvais en moi. Je la trouvais belle et désirable par sa beauté et son intelligence, autant que je la trouvais répugnante par l'obligation qu'elle représentait. Elle était l'allégorie même de mon emprisonnement. Elle n'y était pour rien. Mais je la haïssais tout de même, c'était ainsi. Et alors que ma belle se détourna de moi, fâchée, je pris une nouvelle inspiration. « Je pars faire la guerre. »
« Tu... Mais tu ne peux pas ! »
« Je peux, et je ne resterais certainement pas ici à rien faire pendant que d'autres se battent pour ce qui est le plus sacré. »
« La paix ? »
« La liberté. »
« Oh oui ta liberté, celle que tu aimes bien plus que tout le monde. Celle pour qui tu mourras un jour, va au diable ! »

Et ma Daisy, se levant pour mieux courir loin de moi en pleurs, ignorait combien ses paroles étaient prophètes.

***

Le jour de ma mort fut étrangement celui dont je me souviens le moins. Je me souviens avoir ouvert douloureusement les yeux, déglutissant d'une salive pâteuse et rare. Le bruit des canons et des fusils de fortune résonnaient encore dans ma tête embrumée assaillie par une migraine ; mon uniforme me collait désagréablement à la peau. Et plus je reprenais conscience, plus je sentais une douleur ignoble prendre possession de mon corps, tel du venin virulent : à chacune de mes faibles respirations, jusqu'à l'extrémité de mes doigts, jusqu'à mes moindres terminaisons nerveuses, à chaque clignement de paupière, la souffrance était là. Ignoble, insoutenable, me plombant le corps et me rendant muet. J'entrouvris les lèvres pour hurler mon agonie terrible, sans qu'un son ne sorte néanmoins. Et d'instinct, je tentais de poser mes mains sur ma jambe endolorie : si j'avais pu me redresser sur ce lit, j'aurais pu voir la plaie béante percer ma chair et la faire saigner abondamment. Et c'est alors qu'elle entra dans la pièce poussiéreuse : belle, jeune, souriante. Me dévisageant d'un regard presque affamé malgré ses airs de sainte, elle vint s'asseoir sur ma couche avant de tremper un linge qu'elle porta à ma plaie. La douleur, cette fois, m'arracha un cri. « C'est la première fois, que je vois un soldat anglais. Je vous ai recueilli sur le bord de route, les allemands vous avaient laissé pour mort. Vous avez de la chance, aucun de vos camarades n'a survécu... Monsieur Levy. » fit-elle dans un bref sourire avant de prêter attention à mon écusson militaire. Et ma sauveuse française de poser sa main sur mon front, ce fut la dernière fois, que je me sentis vivant.

Je me souviens de ses quelques mots quant à ma transformation ; la solitude lui avait tant pesé, et elle désirait se trouver un compagnon. Fiancé ou non, peu lui importait, car cette veuve noire avait sans doute le palpitant plus sombre que les profondeurs abyssales encore. A contre coeur, je restais encore quelques années avec ma créatrice qui m'enseigna les bases de survie d'un vampire nouveau né ; ma soif intarissable de sang me poussait à attaquer bestialement l'ennemi. D'abord les allemands, les autrichiens... Puis ma faim aiguisée m'aveugla et je me retournai contre mes propres compatriotes ; hommes, femmes, enfants, personne n'était guère à l'abri de la créature affamée que j'étais devenu. Il me semblait que les temps de guerre attisaient ma brutalité : plus l'ignominie des hommes se faisait sentir, et plus mon agressivité se faisait animale. Ou peut-être était-ce de sa faute à elle : Hélène, ma perfide créatrice. Car plusieurs années plus tard, elle vint mourir bêtement des mains des allemands, et jamais je n'aurais pu penser ressentir autant de reconnaissance pour ces pourritures esclavagistes. Vers 1920, je retournais chez moi, en Angleterre, refusant de renouer contact avec mes parents tout en les laissant me croire mort. C'était de me savoir buveur de sang qui les tuerait : mon père croyant en premier, lui qui m'assimilerait aux sbires de Lucifer. Puis ma mère se laisserait dépérir... Je traversais ainsi la crise des années 30, revivais la stupidité des hommes face à la montée du nazisme, traversais la classe folle des fifties et tombais comme tout le monde sous le charme d'une certaine Audrey Hepburn, vis la montée en puissance du rock'n roll, des années drogues... Mais encore et toujours, la folie humaine m'exaspérait et me rendait bien plus silencieux et renfermé que je ne l'étais déjà. La malédiction achevait son oeuvre : je n'étais pas véritablement mort, j'existais dans un état de presque vie, où chaque jour n'était plus que douleur. Je haïssais ma condition vampirique, mais je haïssais encore plus les vivants. Pourquoi la vie serait-elle quelque chose d'essentiellement sérieux? Pourquoi serait-elle sujet d'une quelconque idolatrie? Elle n'est qu'un mot que ni la science, ni les philosophes, ni les académiciens n'ont su véritablement définir. C'est un fait, les vivants sont là, voilés par un corps faible, et ils se disent en train de vivre. Alors que la mort, elle, encore obscurcie de ces voiles mystérieux et ténébreux, n’est qu’un enchaînement de monceaux éphémères qui se renouvellent tel un cycle vicieux. Pauvre petites choses frêles et fragiles. Vivants : Vos beaux espoirs ont déjà un goût bien dérisoire. Qu’est-ce vivre, qu’est-ce aimer, qu’est-ce partager, alors même que ces beaux actes finiraient tôt ou tard par avoir une fin.

V. Hogwarts.

Aujourd'hui.

Ridicule. Telle était à présent l'étendue de mes pouvoirs que j'avais pu avoir étant sorcier. La malédiction apportait son lot de plus par cette privation qui rendait ma baguette aussi utile qu'un morceau de bois... Qu'importait au final, car mes ambitions, elles, n'étaient dès lors pas mortes : j'avais toujours pour détermination virulente d'entrer dans les hautes sphères du pouvoir. Car d'abord abattu par ma nouvelle condition durant les premières années, j'avais appris à en faire ma force, essentiellement depuis l'apparition du traitement freedom qui rendait les vampires plus... humains, osais-je l'avouer. J'avais donc réintégré les rangs de Poudlard, dans l'espoir d'entrer dans la prestigieuse sphère des sciences politiques. Mais moi qui étais devenu allergique aux vivants, ne me confondant qu'avec les miens qui constituaient ma meute vampirique, il me fallait apprendre à me fondre parmi eux. A sourire à contre coeur, à adoucir mon venin, à apaiser mon agressivité, à retrouver quelque peu de lumière. Et à oublier que malgré tout, je me sentais maudit à jamais.
Nbre de mots: 3647

Let's write the sequel together !



♛ Chapitre 2: Informations
Family portrait & Répartition
La famille dont est issue Rafael a toujours été sorcière, sans pour autant se vanter d'avoir toujours été pure. Leurs origines sont lointaines, puisant leurs racines en Ecosse, Islande et Danemark principalement, bien que la majorité des Levy furent anglais. Aujourd'hui, Rafael est l'unique et dernier représentant, du fait de la malédiction abattue sur la famille il y a cinq siècles de cela : l'extinction pure et simple des Levy, à cause de la mort prématurée de tous les mâles de la famille. Il n'y a donc pas grand chose à avancer sur ces derniers, qui ne s'incluent pas dans le registre des familles influentes, puisque considérés comme disparus. Rafael lui-même n'appartient pour le moment à aucun clan vampirique, préférant faire cavalier seul, comme à l'accoutumée.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

Formulaire de répartition

Répondre aux questions avec un maximum de précision. Merci de conserver la mise en page.

Trust or dare ?

Chocolat chaud ou Thé à la menthe ?
Anglais jusqu'au bout des ongles malgré des ascendances nordiques, s'il fallait choisir entre les deux, le thé serait davantage le bienvenue. Mais rien ne vaut un bon whisky.
Soirée sans alcool ou arrosée ?
Les soirées arrosées sont les plus jouissives, au vu des esprits qui s'échauffent et des histoires qui se tissent autour d'un verre. Mais depuis qu'il est devenu vampire, Rafael évite l'alcool pour ne pas finir totalement désinhibé : un vampire saoul est un vampire doublement dangereux.
Cancre ou étudiant assidu ?
Les deux. Le souci de Rafael étant qu'il ne supporte ni l'autorité, ni qu'on lui dicte sa conduite. Malgré une détermination acharnée de passer son diplôme avec succès, il fait donc partie de ceux qui se retrouvent très fréquemment en retenue, la plupart du temps pour cause d'insolence.
Quidditch ou Echecs magiques
Les échecs, bien que de son vivant Rafael pratiquait le Quidditch. Ce sport ne lui donne malheureusement plus aucune adrénaline depuis sa transformation, il préfère ainsi exploiter ses neurones.
Noir ou blanc ?
Franchement, il a passé l'âge d'être manichéen. Un peu des deux.
Party starter ou Geek ?
Tseuh, ces trucs de haute technologie ? Et puis quoi encore.
Bain de minuit ou fringale nocturne dans les cuisines ?
Tout dépend de la fringale ; entre l'attrait d'un cou délicat et la perspective d'une baignade futile dans le lac, tout est dit...

Questions fermées

Quelle est ton opinion sur la saga d'Harry Potter et le danger qu'elle pourrait faire courir au monde sorcier ?
Une magnifique entourloupe commerciale pour faire rentrer beaucoup d'argent. Mais également un danger pour la population sorcière : jusque là, les moldus étaient assez stupides pour ne pas ouvrir les yeux. A présent, ils sont assez naïfs pour creuser les mystères de la sorcellerie, au vu du succès des romans.
Les conflits dit "de Sang" sont-ils un sujet sensible ?
Bien sûr. Les pro sang purs sont des nazis, ni plus ni moins. Au nom de quoi faut-il interdire le métissage, à quel titre peut-on se permettre qu'un sorcier est plus pur qu'un autre. L'humanité se perd... Allez au diable.
Quelles sont les valeurs qui te paraissent les plus importantes ?
La liberté avant tout. Pas d'entraves, pas de chaînes, pas d'attaches. Quitte à souffrir de la solitude peu m'importe. L'honneur également est une valeur qui m'est chère : je ne supporterais pas de plier face à une quelconque lâcheté. Plutôt mourir une seconde fois que d'être couard. La détermination est aussi une qualité à laquelle j'attache beaucoup d'importance : je ne supporte pas les personnes sans ambition. Et enfin, la richesse d'esprit m'est primordiale... Je ne parle pas aux êtres stupides.
Lorsqu'un conflit éclate, comment réagis-tu ?
J'en tire un maximum de bénéfices en premier lieu. J'analyse la situation et observe la faille que je pourrais exploiter et qui pourrait me rapporter beaucoup... Si je suis impliqué et que le conflit risque de me faire perdre plus que de nécessaire, je ne tarde pas à sortir les crocs.
Quels sont tes projets pour l'avenir ?
Amasser d'avantage de pouvoirs grâce à mes années d'immortalité accumulées. J'aimerais atteindre les sphères sociales les plus élevées pour mieux darder le monde d'en haut.
Ton avis sur les directeurs ?
Pour le moment, tant qu'ils acceptent encore les vampires dans leurs rangs, le reste m'importe peu. Une fois sorti d'ici, ce ne sera plus mon problème.
Accordes-tu une certaine importance à la Magie noire ? Pourquoi ?
Bien sûr, elle est aussi importante que son homologue blanche. Malheureusement ma baguette faisant grève, je m'en tiens surtout aux potions, domaine dans lequel j'exelle.
Que penses-tu des moldus, des cracmols ?
Des êtres naïfs comme les autres... Ingénieux cependant, débrouillards aussi. Moins goûteux cependant ; rien ne vaut l'hémoglobine sorcière.
Tes plus grandes peurs ?
Trop m'attacher à une personne et la voir périr avant moi. Avouons-le, je suis tant insupportable qu'aucun mortel n'aurait la force de vivre à mes côtés. Grand bien nous en fasse.

I wish i could...
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Vivre le grand amour
Refaire le monde
Croire en l'avenir
Réussir sa carrière ■ ■ ■ ■ ■

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Gentillesse
Intelligence ■ ■ ■ ■
Courage ■ ■ ■ ■ ■
Humour
Assiduité
Respect ■ ■ ■ ■

Hush hush the world is quiet


♛ Chapitre 3: Don {Facultatif}
Gifted youngsters
Consultez ce sujet avant toute chose. Sous réserve d'acceptation =)
Nom du don; Vampire
Principe & explication (Origines, etc...): La famille Levy est touchée par une malédiction qui empêche les descendants mâles de vivre au-delà de 20 ans. Cela se termine en apothéose par la mort de Rafael, extrême et douloureuse, qui est ainsi condamné à porter éternellement le fardeau de la malédiction. Puisqu'il n'a jamais aimé et n'a donc jamais eu de descendance, il ne peut plus espérer en avoir aucune à présent.
Force et avantages: Du point de vue de Rafael, les avantages qu'il en tire sont l'accumulation de savoir qu'il prêche tout particulièrement. Malgré sa grande insolence et son inaptitude à se soumettre à une quelconque discipline, il demeure un jeune vampire très cultivé. C'est cette richesse d'esprit qu'il compte bien mettre à profit pour parvenir jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir : patience et longueur de temps... L'autre avantage et non des moindres, est le charisme exacerbé qui ressort de sa condition de vampire : rusé et opportuniste, Rafael n'hésitera pas à user et abuser de ses charmes pour parvenir à ses fins. Celles-ci demeurant toujours personnelles et en trait à sa carrière politique dans laquelle il met beaucoup d'espoir. Il ne se sert cependant pas de cet atout pour la gente masculine : adepte des filles faciles bien qu'il les méprise, il se contente d'attirer les proies pour se divertir et s'en nourrir. Pour le moment, le concept de charmer une demoiselle pour gagner son coeur n'est pas franchement assimilé (euphémisme)
Faiblesses & dangers: Le plus grand danger réside dans l'impulsivité et la bestialité partiellement retenue de Rafael. Etant un jeune homme sanguin (sans mauvais jeu de mot), il peut partir au quart de tour malgré son apparente placidité. De ce fait, il demeure un véritable danger pour ses camarades qui ne sont guère à l'abri de ses crocs... Sans compter que Rafael n'attend pas les nuits de pleine lune pour se nourrir de sang humain : il est très fréquent qu'il ne fasse des virées nocturnes dans le village voisin, à la recherche d'hémoglobine...
Justification (Pourquoi votre personnage devrait avoir ce don, en quoi cela est-il essentiel ?) : C'est absolument essentiel puisque c'est la base même de mon personnage. La malédiction, toussa toussa (faut-il vraiment que je fasse 10 lignes là ? J'ai déjà tout dit au-dessus...)

I wanna be special



♛ Conclusion: Muggle zone
Introducing me, myself and I


Tanya

ϟ Prénom/âge Tanya, majeure msieur
ϟ Double-compte ? nope
ϟ Présence sur le forum; 5/7
ϟ Avatar choisi: ed westwick
Code:
 <b>[color=indianred]▬ </b> Ed Westwick [/color]■ [url=http://relashio.forumsrpg.com/t573-rafael-beauty-of-the-flesh-confuses-you#7085]Rafael B. Levy[/url]

ϟ Réponse au code du règlement:


ϟ Comment avez-vous connu le forum et quel est votre avis ? je sais plus, PRD je crois ? Il est kewl (a)
ϟ Le mot de la fin ? Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 85981

Let's play ! ϟ Etat fiche: [Partie réservée au staff]



Dernière édition par Rafael B. Levy le Dim 23 Oct - 17:03, édité 18 fois
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptySam 22 Oct - 23:22

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ouijerepostemafichepourvousemmerder Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 85981
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 0:23

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Bonjour vous,

On se seraient pas déjà croisés quelque part ? Nan je sais pas, votre tête me dis quelque chose Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 412253 . Mais vous avez l'air charmant, ça vous dirait de me rejoindre à la tombée de la nuit dans les cachots ? *sbaf*

Au fait, Raf' faudrait que pense à me rendre mes menottes, y'a London qui me les demande Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 864926

*part loin*

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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 8:09

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Mais avec plaisir Mademoiselle, vous êtes le phoenix des hôtes de ces bois Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 412253
Et je les ai pas tes menottes, avec qui veux-tu que je m'en serve ? Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 595827
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 14:54

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Bienvenuuuue toi Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 460974
Et la luxure, quel magnifique péché Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 395963
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 15:10

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rebienvenue serait plus juste, mais merci miss ! ♥
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 15:15

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Haha effectivement ! Je veuuux un lien avec un vampire Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 85981
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 15:20

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Parfait... j'ai trouvé une personne sur qui poser mes menottes Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 687378
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 15:22

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Rafael B. Levy a écrit:
Parfait... j'ai trouvé une personne sur qui poser mes menottes Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 687378

Suspect Suspect

Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 864926

*repart*
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 15:26

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miss frigide tu sors, tu sais très bien qu'on n'en serait pas là si t'étais pas une reine des glaces ! outré


Dernière édition par Rafael B. Levy le Dim 23 Oct - 15:52, édité 1 fois
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 15:26

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    Re-bienvenuuuuue !! Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 323872
    *est amoureuse du style* Ton personnage est délicieux *a pas trouvé d'autre mot pardonnez-la* et même si je suis pas fan de Westwick j'avoue qu'il colle bien *-*

    des menottes? de la luxure? AATTENDEZ MOIIIII
    *jette du gruyère pour faire une orgie*
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 15:29

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Mon Dieu ... On m'a énormément parlé de vous monsieurdame, et franchement, c'était encore en-dessous de la réalité. J'ai dévoré l'histoire, et j'en demande encooooooore

Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 74552

Bienvenudo ^^

PS: J'aime également la luxure, les menottes et le fromage ...
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 17:05

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C'est ce que j'aime avec Westwick, il plait pas à tout le monde ** (amis de la bizarrerie bonjour)
Du fromage ? ... la prochaine fois ramène de la barbaque, m'est avis que je manque surtout de fer vu que j'ai pas le droit de toucher à vos jugulaires mesdemoiselles (a)

hein on t'a parlé de moi ? Embarassed .... huhu I'm gonna be a staaar, à moi Hollywood, la superficialité, les faux amis, les dollars et le botox \o/

Merci à vous Potté

ps : ohmygad eva green.... .... je t'aime Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 412253

edit : j'ai terminé. Et j'ai pris la liberté de déjà coller le formulaire de répartition puisque Raf' est déjà réparti. Par ailleurs j'avais déjà envoyé une demande de don avec motivations à mes débuts, donc il est vrai que je n'ai pas développé ma demande ici comme il se devait, sorry ><
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 17:30

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re-bienvenue monsieur le vampire-qui-sourit-jamais. Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 412253
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 17:46

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Rafael B. Levy a écrit:
miss frigide tu sors, tu sais très bien qu'on n'en serait pas là si t'étais pas une reine des glaces ! outré

Oui bah y'en a certains qui aiment mon côté reine des glaces Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 85981

Tout est good pour ma part (: Oui, j'ai re-lu ton histoire avec le même plaisir Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 74552 . Parfait pour le don, tu en parles assez dans l'histoire et les informations complémentaires sont là. Tout est ok pour la fiche de répartition mis à part pour la dernière catégorie où tu as mis 16 au lieu de 15 points. Oui c'est du chipotage, du coup je te change ta fiche de place, je supprime l'autre et tu changeras ça plus tard Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 864926

Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you 636497
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you EmptyDim 23 Oct - 18:03

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ah oui, le pire c'est que je m'en suis rendu compte, puis j'ai aussitôt zappé. hmph '--
thx ♥
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Rafael ♛ Beauty of the flesh confuses you Empty


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