CHAPITRE PREMIER ;
Ma soeur

Rusty Rockets

Pourquoi avoir des enfants ? Pour avoir une descendance, pour ne pas se sentir seul, pour léguer tout ce que l'on possède à cet enfant ? Ou bien pour tout simplement prouver notre amour à notre partenaire qui lui en veut un, bien sur qu'il aura des enfants, que pourrait-il faire sans enfant ? Et bien Ameline De L'Ecluse a décidé d'avoir des enfants pour son mari, il en voulait plus que tout, même si elle préférait se concentrer sur sa carrière de nageuse. Son mari quand à lui Yvan De l'Ecluse avait 35 ans et n'avait pas vraiment envie d'attendre pour avoir des enfants. Il voulait pouvoir s'en occuper, bien que sa femme ne voulait pas quitter sa carrière, il mis cinq ans pour lui faire comprendre qu'avoir des enfants étaient important.

Yvan - Écoutes moi.
Ameline - Non je ne veux pas en parler, tu sais très bien que je ne suis pas prête. Et puis avec ma carrière.
Yvan - Ta carrière, oui toujours ta carrière, c'est toujours cela qui doit passer en premier.
Ameline - Et alors ? C'est moi qui ramène notre revenu.
Yvan - Je suis plus riche que toi.
Ameline - Je ne peux plus vivre de ce que j'aime ?
Yvan - Si, mais je te demande, juste pour moi, juste un seul enfant, pour que je ne m'ennuie plus dans cet immense manoir qui est si vide.
Ameline - Un Seul ?
Yvan - Un seul.
Ameline - Et tu ne me reprocheras plus de ne pas être là pour toi ?
Yvan - Oui
Ameline - Promis ?
Yvan - Promis
Ameline - Alors.

Voila la dernière conversation qu'ils avaient eu pour avoir ou non et pour une fois c'était Yvan qui avait gagné la partie. Il ne voulait plus lâcher son idée d'avoir cet enfant, il le voulait et il l'aurait, d'ailleurs ce qui l'étonna était qu'ils n'attendirent pas vraiment longtemps pour l'avoir puisquils n'attendirent que très peu de temps pour l'avoir puisque rapidement, ils apprirent qu'elle était enceinte. Ameline étant heureuse pour son mari, mais moins pour elle et ses entraînements bien qu'elle veuille accoucher dans l'eau. Elle est nageuse après tout, elle fit toute les échographies prévues pour les nourrissons, mais aucun des deux ne voulaient savoir le sexe, c'est pour cela qu'ils avaient choisit des prénoms mixtes pour leurs enfants. Oui leurs, puisqu'ils allaient avoir des jumeaux, enfin des jumelles mais cela personne ne le savait mis à part leur gynécologue. Les deux petites filles s'appelèrent Maxime et Stephane, de vraies jumelles. Il n'y eu aucun problèmes lors de l'accouchement aquatique qui n'avait eu que des effets positifs sur la mère autant que sur les enfants. Ameline n'avait pas eu vraiment mal lors de l'accouchement, elle avait moins de stress et plus de calme autour d'elle quand au petites elles ont eu une naissance plus douce que n'importe quel autre bébé, et on pu profiter de sentir leur mère bien avant n'importe quel autre enfant. Puisqu'elles n'avaient pas vraiment eu besoin de passer au petit nettoyage habituel.

♣ ♣ ♣

Stephane - J'en ai marre.
Maxime - De quoi ? Qu'est-ce que tu as ? Encore.
Stephane - Tu as qu'a deviner.
Maxime - Je ne suis pas dans ta classe, n'oublie pas et puis on ne se voit que pour les repas et le soir dans la chambre.
Stephane - J'en ai marre de ce endroit, pourquoi il nous ont envoyé ici ? On a que huit ans.
Maxime - Je ne peux pas te répondre et tu le sais, enfin si ils seront tranquille comme cela sans nous avec leur bébé.
Stephane - Tu crois que c'est à cause de Camille ?
Maxime - Camille par-ci, Camille par là, ils n'ont que ce prénom à la bouche Steph.
Stephane - Je le déteste.
Maxime - Toi ? Tu détestes Camille ? T'arrêtes pas de demander à maman de jouer à la poupée avec.
Stephane - Tu m'énerves, toi et tes réflexions.

Et voila c'était rare pour elles, mais cet enfant, n'était certainement pas la meilleure des choses qui aurait pu leur arriver bien au contraire puisque aucune des deux, n'avaient eu envie d'un petit frère. Elles se retrouvaient dans un endroit qu'elles connaissaient pourtant, puisqu'elles étaient chez leurs grands parents maternels. Mais elles n'avaient jamais aimé venir, par simple raison qu'elles n'avaient jamais eu le droit de faire quoi que ce soit. Elles devaient rester dans leur coin jusqu'à ce que leur grand mère les appellent pour manger. Elle avaient le droit de faire leurs devoirs et rien d'autre, si de manger, de se laver et de dormir, heureusement quand même. Leurs grands parents avaient beau être riches, ils ne savaient pas comment montrer leur amour à deux petites filles qui en avaient terriblement besoin. Déjà qu'ils les avaient séparés, enfin mises dans deux écoles différentes, bien sur Maxime s'était fait très facilement des amis, mais ce n'était pas le cas de Stephane. Elle avait pris l'habitude de prendre appuis sur sa sœur et là elle ne pouvait pas le faire. Mais elle savait qu'elle avait Nim, chez elle et tant mieux parce que sinon elle n'aurait certainement pas su comment faire. Et dire que leurs parents pensaient que cela leur forgeraient le caractère et bien c'était plutôt le contraire. Séparer des jumelles, c'est comme séparer une personne en deux, elles sont deux mais ne font qu'une cela personne ne peut le comprendre.

Stephane - AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!
Maxime - Steph calmes toi, tu vas réveiller grand mère.
Aline - Que ce passe-t-il ? Qui a crié ?
Stephane - Moi grand mère.
Aline - Pourquoi ?
Stephane - J'ai fais un cauchemar.
Aline - Viens dans mes bras.
Stephane - Grand mère ?
Aline - Oui ?
Stephane - Je peux dormir avais toi ? Dis oui s'il te plait.
Aline - D'accord
Stephane - Merci grand mère.
Aline - Maxime tu peux rester toute seule ?
Maxime - Oui grand mère.

Lorsqu'elle avait entendue sa sœur crier elle était allée directement sur son lit pour la prendre dans ses bras et tenter de la calmer. Elle savait que ces derniers temps Stephane, faisait pleins de cauchemars à cause d'elle ne savait quoi. Elle ne comprenait pas habituellement c'était elle qui faisait des cauchemars, jamais Steph et pourtant elle commençait à en faire. Cela commençait à inquiéter Maxime, même si elle ne le montrait pas, elle avait peur pour sa sœur, et puis elle savait que Stephane était fragile, chose que personne n'avait l'air de voir à par elle. Pourtant leurs parents les avaient envoyées chez leurs grands parents au moment dont elles auraient eu le plus besoin d'eux. Oui elles en auraient eu besoin, elles avaient besoin de leurs parents alors que ceux-ci ne s'occupaient que de leur petit frère. Petit frère qu'elles allaient commencer à détester si elles ne reprenaient pas leur place dans leur famille.

CHAPITRE SECOND ;
Cette Révelation

Rusty Rockets

Ce que Ameline ne voulait pas qu'il arrive arriva, bien sûr elle savait ce que ses filles allaient l'être, oui Stephane reçu la même lettre mais à son nom. Leur mère redoutait cette lettre et par conséquent la révélation qui allait suivre, depuis qu'elle était tombée enceinte elle savait que ses filles n'étaient pas celles de son mari. Bien entendu des sorcières pouvaient naître de parents moldus. Mais elles avaient leur père biologique sorcier. Quand à Yvan lui était entrain de prendre le choc, les filles étaient contente quand à Camille, il faisait une tête pas possible, dans le style et moi pourquoi je n'ai pas reçu la lettre ? Sa mère était au courant mais elle ne savait pas si elle pouvait le dire. Elle laissa ses filles aller faire ce qu'elles voulaient, ainsi que son fils et regarda son mari. Il fallait bien qu'il sache la vérité un jour où l'autre, au moins il l'avait eu son enfant. Bien que les filles l'adoraient comme un père, elle savait très bien que Maxime, allait vouloir retrouver son père biologique quand elle le saurait.

♣ ♣ ♣

Yvan - Maxime, Stephane descendez , on doit vous parler.

Les deux petites filles étaient tellement heureuses qu'elles n'avaient pas même entendues que leur mère les avaient appelées d'en bas avant que leur père vienne les chercher dans leur chambre. Etant donné qu'il était là et qu'il voulait qu'elles le suivent, elles le firent sans rien dire de toute façon il n'y avait rien à dire. Elles étaient des sorcières et allaient rentrer dans une école de magie, cela allait être génial pour elles. Sauf qu'elles ne s'imaginaient pas ce qu'allaient leur annoncer leurs parents par rapport à leur véritable père.

Yvan - Votre mère a quelque chose à vous dire.
Ameline - Mes chéries, je dois vous avouer quelque chose, je l'ai dit à votre père, mais maintenant vous devez le savoir.
Camille - Et moi j'ai pas le droit de savoir ? Parce qu'elles vous les appelez mais pas moi.
Yvan - Oui Camille tu peux rester.
Ameline - Donc, je reprends, comme je l'ai dis à votre père et que nous avons longuement réfléchis au fait. Si il fallait vous le dire ou non. On en est venu à la conclusion que oui.
Maxime - Maman, vas droit au but.
Ameline - Vous savez que nous vous aimons plus que tout, toutes les deux. Et que nous ne voudrions pas qu'il vous arrive quoi que ce soit.
Maxime && Stephane - Oui
Camille - Et moi ?
Yvan - Oui toi aussi Camille, mais cette conversation concerne tes sœurs et non toi.
Ameline - Donc, le fait que vous soyez des sorcières est du au fait que Yvan ne soit pas votre père.
Maxime && Stephane - Quoi ??
Ameline - Votre père est anglais et c'est un sorcier, comme j'étais en Angleterre et que l'on c'était déjà rencontré, j'ai eu comment dire un moment de faiblesse. Et j'ai pas pu ne pas le laisser faire.
Yvan - Ils n'ont pas besoin des détails.
Ameline - Oui, donc vous êtes des sorcières par votre père qui n'est pas Yvan.

C'est comme cela que Maxime partit, elle ne pouvait pas en entendre plus, elle sortit du salon, sortit de la maison et alla dans la rue. Elle ne s'étonna pas que sa sœur l'ait suivit, enfin elle avait deviné que c'était sa sœur, puisque la personne courrait pour la rattraper. Non elle n'avait pas de larmes, elle ne pleurerait pas, elle venait de comprendre pourquoi elle était une sorcière. Elle ne savait au moment présent que les moldus pouvaient avoir des enfants sorciers. Et cela était très bien, maintenant pour elle le but était de retrouver son père. Son père biologique, même si sa mère ne lui avait pas dis son nom, il devait le savoir, il devait savoir qu'il avait deux filles.

Stephane - Tu vas faire quoi ? Partir à cause de ce que viens de nous dire maman ?
Maxime - Maman nous a menti Steph, elle nous a menti sur ce que nous étions.
Stephane - Et alors le principal n'est-il pas de le savoir ? Maintenant on le sait alors ce n'est rien.
Maxime - Tu ne comprends pas ? Notre père est en Angleterre, il nous y attend et nous n'en étions pas au courant.
Stephane - Nim calmes toi s'il te plait, arrêtes toi, regardes moi. Tu as envie de pleurer je le sais, alors fait le, je suis là, tu le sais.
Maxime - Je ne pleurerait pas, pleurer c'est pour les faibles Steph, pas pour nous, pas pour moi.
Stephane - Je ne pleurerait pas, pleurer c'est pour les faibles Steph, pas pour nous, pas pour moi.
Maxime - Je ne pleurerai pas un point c'est tout. Je la hais, tu m'entends je la déteste.
Stephane - Ne dis pas çà, tu sais que tu l'aimes
Maxime - Non je la déteste, plus que tout.
Stephane - Comme tu veux, de toute façon quand tu es comme çà, rien ni personne ne peut te faire comprendre que tu as torts.

C'était vrai, à chaque fois qu'elle s'énervait, chose qu'elle était entrain de faire, personne ne pouvait lui démontrer qu'elle avait torts. Pas même sa sœur, et pourtant on ne pouvait pas dire qu'elle n'essayait pas, bien au contraire. Elle resterait avec Maxime jusqu'à ce qu'elle se calme ce qui n'arriverait pas de sitôt et elle le savait. Stephane avait une patiente infinie, chose que Maxime n'avait pas du tout bien au contraire, elle était d'une patiente très proche de zéro. Mais elle l'assumait, oui elle assumait ce qu'elle était et se fichait bien de se que les autres pouvaient penser d'elle. Si quelqu'un lui faisait un réflexion elle lui mettrait son poing dans le visage sans aucun doute.

CHAPITRE TROISIEME ;
La ruelle sombre

Rusty Rockets

Les vacances ne peuvent faire que du bien, ou pas mal de bien, alors que Stephane et Camille étaient partis dans le sud, pour des vacances en mer avec leur grand père. Maxime quant à elle avait préféré rester à Paris, puisqu'elle n'avait jamais eu le pied marin bien que son grand père ait essayer en vain de lui faire aimer la navigation. Elle ne présentait que des nausées quand elle se retrouvait sur un navire, même si elle aimait nager presque autant que sa mère, il faut savoir qu'elle n'arriverait jamais à son niveau, cela était certain. Mais cela ne la dérangeait pas du tout puisqu'elle avait d'autres choses à faire que nager, des choses plus importantes pour elle comme l'art. Nim avait toujours eu un penchant sur l'art, que ce soit de sorcier ou bien de moldus, elle adorait l'histoire de l'art. Et ne savait pas si elle se dirigerait vers une carrière de photographie dans le monde magique ou bien si elle prendrait histoire de l'art dans le monde moldus, ce qui lui plairait plus que tout. Cela l'étonnerait fortement que ses parents lui laissent faire ses choix, avec l'intelligence qu'elle avait. Ils préfèreraient certainement qu'elle fasse des études longue dans le style médecine, politique, droit et tout ce qui pourrait aller avec. Mais elle voulait avoir une carrière artistique un point c'était tout. Le fait d'essayer de le faire comprendre à ses parents risquerait d'être plutôt difficile.
Quand Maxime avait besoin d'être seule, elle quittait assez souvent leur manoir, oui on peut dire manoir comme hôtel particulier au choix. Elle allait le plus souvent au jardin des Tuileries, c'était son endroit, c'était un espace qui l'inspirait , soit elle choisissait de dessiner, soit de photographier pour pouvoir peindre après et ajouter à sa collection de photographies.. Alors qu'elle choisissait une petite partie tranquille, sans touriste. Ce qui pouvait être difficile puisque le France était tout de même le pays le plus visité au monde et que Paris était sans aucun doute la ville la plus visitée. Mais après tout on sait s'accommoder de choses nombres lorsque nous voulons quelque chose et c'est ce que faisait Nim. D'ailleurs elle avait l'habitude à force, alors elle s'était mise dans coin potentiellement calme et regardait passer les touristes rien que pour les observer. Et au bout d'un petit moment elle pris son appareil pour photographier ce qu'elle déciderait. Elle aimait bien prendre les visiteurs entrain de se faire photographier par d'autres touristes. Cela était comment dire amusant et instructifs, bon bien sur c'était des moldus et alors ? Elle s'en fichait, de toute façon les membres de sa famille l'étaient également et elle avait grandi comme une moldue jusqu'à ses onze ans.

Comme il commençait à se faire tard, elle savait qu'il valait mieux qu'elle rentre, Yvan allait encore se faire une tonne de soucis pour rien. Alors, elle préférait rentrer plus tôt que prévu, il n'avait beau pas être son père biologique, il était le meilleur des pères qu'elle aurait pu avoir et elle le savait. Elle était assez loin de chez elle et n'aimait pas franchement prendre les transports en communs. Peut être une habitude de fille de riches, mais cela ne la dérangeait pas. Paris étant une ville assez peuplée et étendue, il était facile de s'y perdre si vous ne connaissez pas la ville, généralement Nim c'est habituée à passer dans des petites ruelles pour arriver plus vite chez elle. Elle faisait son chemin sans vraiment regarder où elle allait sachant qu'elle n'en avait pas besoin aux vues du fait qu'elle connaissait parfaitement son itinéraire. Le temps étaient gris, sans aucun doute à cause de la pollution qu'entraînent les moldus, mais elle ne pouvait pas franchement y faire grand-chose.
Tout à coup, elle entendit des bruits de pas, qui étaient rapides et saccadés, mais aussi un souffle assez rapide, comme si quelqu'un avait couru un cent mètre. Cette respiration haletante était en train de l'inquiéter, normalement personne ne prenait ses ruelles là, à cause du fait qu'elles étaient assez mal fréquentées. Elle se retourna seulement pour voir qui était là, on ne sait jamais, il vaut mieux vérifier avant de tirer des conclusions attife. Un jeune homme, plus grand que Maxime approximativement 1m90, plutôt athlétique, musclé, un moldus sans aucun doute, des yeux assez charmeurs, bleus, cheveux bruns assez long mais ébouriffés. Il s'approchait de plus en plus de Nim qui elle était sur un trottoir en train d'attendre quelque chose, enfin le chauffeur que son père venait de lui envoyer puisqu'il se faisait trop de soucis. Et comme il n'aimait pas vraiment qu'elle passe par ses endroits là, mais sachant l'heure qu'il était, le fait qu'elle ait une interdiction de prendre sa baguette quand elle n'était pas à Poudlard. Même si on lui avait appris les bases de la self-défense ; encore une idée de son père pour qu'elle et sa soeur sachent se défendre si jamais il n'y avait personne pour les aider. Elle sursauta en entendant la voix du jeune homme, elle avait beau être extrêmement sûre d'elle, elle ne pouvait pas s'empêcher de sursauter.

... - N'auriez vous pas l'heure s'il vous plait.
Maxime - 19h30.
... - Je te prends deux heures cela te vas-il ?
Maxime - J'attends déjà quelqu'un.

Elle savait parfaitement ce qu'il voulait, ses ruelles étaient encore pire qu'une partie des Champs-Elysées, la plus belle avenue du monde. Avec le soldat inconnu enterré sous l'arc de Triomphe. Maxime ferma les yeux deux secondes, il fallait évaluer la situation, il l'avait pris pour une péripatéticienne, chose qu'elle n'était en aucun cas. Même si elle pouvait s'amuser à souvent allumer les jeunes gens, enfin quoi que. Mais elle sentit une main se poser sur sa hanche droite, par pur réflex elle l'enleva, ce qui n'empêcha pas le jeune homme de remettre sa main et de poser l'autre sur sont épaule gauche pour la retourner vers lui. Elle était donc face à lui, elle le regardait dans les yeux, elle avait beau être plus petite que lui, elle ne comptait pas se laisser faire. Elle sourit tout simplement et leva son genou d'un coup sec, ce qui donna un coup aux parties intimes de cet homme.

... - Tu n'es qu'une allumeuse.
Maxime - Et alors ?
... - Je vais t'apprendre à respecter tes clients.
Maxime - J'ai vraiment très peur.
... - Ne joue pas avec moi ma petite.

D'un seul coup il lui prit un bras et la plaqua contre le mur assez violemment, elle le regarda sans rien dire, elle s'en voulait d'avoir laissé son père la convaincre de laisser sa baguette chez elle. Maxime tentait de se débattre, mais rien n'y faisait il avait trop de force pour elle, elle serait incapable de se défendre sans aide ou bien même sans magie. Elle ferma les yeux pour se dire intérieurement qu'elle n'avait rien à craindre, qu'il n'allait rien se passer rien, comme si elle y croyait. Bien au contraire elle savait parfaitement ce qui aller se passer, elle le regardait avec des yeux mitrailleurs, si ses yeux étaient des armes elle l'aurait certainement déjà tué.

... - Alors ma belle on fait moins la maligne.
Oh tu n'oses même pas répondre, as-tu peur ?
Maxime - Non, de quoi aurais-je besoin d'avoir peur ? D'un petit délinquant juvénile que sa copine ne peut pas contenter ?
... - Tu commences à aller loin, même trop loin.
Maxime - Et alors je croyais quand vous donnant encore plus de mal, on vous excite encore plus. Mais à ce que je vois je me suis trompée, dommage.
... - J'espère que tu le fais aussi bien que tu parles.
Maxime - J'en sais rien aucun de mes ex y ont survécus. Oup's.

Voilà les dernières paroles qu'ils c'étaient échangés avant qu'il ne commence à lui relever sa jupe. Oui parce qu'elle avait une jupe assez mini, plutôt jolie, enfin elle l'aimait bien, d'ailleurs c'était sa préférée. Mais elle portait aussi un top pas vraiment décolleté puisque c'était un col en v et puis elle ne s'était pas super bien habillée pour aller faire ses photographies, comme c'était elle la photographe, elle n'avait pas forcement besoin d'être la mieux habillée. Mais cela elle s'en fichait à ce moment-là puisqu'il était en train de dégrafer son jean, elle le regardait faire de toute façon elle ne pouvait rien faire d'autre, que le laisser faire. Elle n'était pas en possibilité de gagner et savait très bien que tenter de le manipuler ne servirait strictement à rien. Elle prenait sur elle, c'était tout ce dont elle était en possibilité de faire, elle ne disait rien, ce qui avait l'air de faire plaisir au jeune homme. Elle était déjà en train de se faire un plan de vengeance, elle ne voulait pas de lui à l'intérieur d'elle et pourtant il était là et elle ne pouvait rien y faire.

... - ... - Tu vois que je t'ais eu.
Maxime - Et alors ?

Quand elle prononça sa phrase une voiture arriva, c'était son chauffeur, qui ne descendit pas de la voiture, puisque son père venait de le faire. Là cela risquait de faire mal, Maxime voyait très bien dans quel état été son père et on pouvait voir que de la haine qu'il avait contre le jeune homme qui s'était bien débrouiller pour partir avant que Yvan arrive à leur niveaux. Nim quant à elle s'assit par terre puisqu'elle ne pouvait rien dire, rien même si son père voulait savoir. Elle ne pourrait rien dire, elle était trop honteuse de s'être laissée violer, chose qu'elle n'avouerait sans aucun doute à personne à part à sa soeur. A ce moment-là, elle s'en voulait de ne pas être partie dans le sud avec elle d'ailleurs, elle n'aurait pas été obligée de faire de la navigation.

Yvan - Ma chérie, je suis là.
Maxime - Papa !
Yvan - Je suis là Maxime, je suis là pour toi, personne ne te feras du mal ma puce, tu peux en être certaine.
Maxime - Papa, je suis désolée, j'aurais jamais du passer par ici, c'est toi qui avait raison.
Yvan - Ce n'est pas le moment de parler de cela, viens on rentre.
Maxime - Papa ?
Yvan - Oui ?
Maxime - Promets moi de pas le dire à maman.
Yvan - Mais ma chérie, il faut que tu en parles.
Maxime - Promets me le.
Yvan - D'accord, mais à la seule condition que tu m'en parles quand tu en as besoin.
Maxime - Promis
Yvan - Promis, aller maintenant rentrons.

CHAPITRE QUATRIEME ;
Le connaître

Rusty Rockets

Maxime - Tu ne devineras jamais qui veut nous rencontrer.
Stephane - Nim, tu pourrais pas arrêter de me faire peur comme çà.
Maxime - Désolée, mais bon répond à ce que j'ai dis, s'il te plait.
Stephane - Hum, tu adores le faire, tu n'es pas désolée je le sais. Euh je sais, l'un des meilleurs photographes du siècles ?
Maxime - Je n'ai pas dis "me" mais "nous" Steph, bon d'accord, j'adore te faire peur. Mais c'est parce que cela fonctionne à tout les coups.
Stephane - J'en sais rien moi et puis je m'en fiche.
Maxime - Tu ne veux pas rencontrer notre père ? Il m'a envoyer une lettre, et comte bien nous rencontrer, enfin si nous le désirons aussi.
Stephane - Nim, c'est Yvan notre père et puis il ne nous a jamais demander de le rencontrer avant.
Maxime - Maman ne lui avait pas dit que nous étions ses enfants et elle a enfin décidé de lui dire. Alors s'il te plait.
Stephane - Tu devrais te voir, on dirais que tu as cinq Maxime, que tu peut être exaspérante quand tu t'y mets.
Maxime - Attend Steph on a la chance d'avoir ce que l'on rêve depuis nos onze ans et tu n'acceptes pas.
Stephane - C'est toi qui rêve à cela pas moi. Sur ce je te laisses, peut être que toi tu n'as pas besoin de réviser mais moi oui.
Maxime - Mais Steph ...

Une différence entre les jumelles était celle-ci : alors que Maxime était tellement heureuse de rencontrer son père biologique, Stéphane quant à elle ne le voulait pas. Et pourtant Nim savait très bien qu'elle envisageraittoutes les possibilités pour que sa soeur accepte, elle mettrait du temps, puisque Steph était la seule personne sur qui sa manipulation de fonctionnait pas. Ce qui était bien dommage et puis elle n'aimait pas vraiment profiter d'elle non elle ne voulait pas profiter de sa soeur, elle ne pouvait le faire, elle n'y arrivait pas. Elle se retrouva plantée par sa soeur avec un bout de papier dans la main qu'elle ne montrerait à personne à part à sa soeur bien sûr. Qui lui dévoilait qui elle était ou plutôt la fille de qui elle était et sur cette lettre elle avait aussi appris une chose qu'elle avait une autre soeur. Plus âgée qu'elle et qui était également à Poudlard et qu'elle était Poufsouffle, mais elle ne pouvait rien y faire de toute façon mais en était heureuse.