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 tu peux courir tant que tu veux, je serais toujours derrière toi

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Message(ϟϟ) Sujet: tu peux courir tant que tu veux, je serais toujours derrière toi tu peux courir tant que tu veux, je serais toujours derrière toi  EmptySam 13 Nov - 21:54

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tu peux courir tant que tu veux,
« ft. lullaby & rafael »je serais toujours derrière toi



    Qu’est-ce qu’il y avait de plus merveilleux que le vendredi soir ? J’ai beau cherché dans la chose qui me sert de cerveau, je ne vois pas. Oui, je sais, je suis un peu folle de penser ça, mais j’assume totalement ce que je suis mais pas ce que fais, enfin rarement. Je suis lâche, je sais, mais pas autant que ce Rafael Lévy, décidément j’avais une dent contre les bleus. Quand je n’avais pas de problème avec Ana-Léna, c’est avec lui que j’en avais un. Je ne m’étais jamais réellement intéressé à lui avant de voir qui me regarder d’une façon bizarre mais encore ce n’était pas ça qui me gênais, parce que tout le monde me regardais d’une façon particulière, mais le véritable problème avec lui c’était qu’à chaque fois que je voulais lui parler du comportement qu'il adoptait avec moi, il me fuyais comme la peste. Pourquoi ? Je n’en savais strictement rien pourtant ce n’était pas faute d’avoir essayé. Ces derniers temps, j’avais un peu renoncé à lui courir après, je n’allais pas passer ma vie à ça, de plus je n’avais aucune envie de courir après quelqu’un qui avait un comportement puéril. Il se rendra compte par lui-même qu’il se trompe sur ce qu’il pense de moi, même si après tout je ne savais pas se qu’il pensait de moi. Je ne pouvais pas dire que ce Rafael était beau, parce que je ne trouvais pas, je dirais plutôt qu’il est intrigant et mystérieux et c’est peut-être pour ça je veux remettre les pendules à l’heure avec lui. Je n’aimait quand les gens me cachais quelques choses. J’ai toujours était franche et j’aime bien quand les gens le sont également avec moi, même si parfois, je vous l’accorde, les vérités sont blessantes, mais il vaut mieux vivre dans la vérité plutôt que dans le mensonge. Bon d’accord, je suis mal placée pour dire ça car presque chaque phrase qui sort de ma bouche est un mensonge mais d’un autre côté, je m’ennuyais tellement quelques fois qu’il fallait que je trouve des distractions amusantes en l’occurrence le mensonge était mon préféré. Je me souviens parfaitement avoir fais rompre une de mes amies en lui disant que son cher et tendre l’avait fait cocu. Est-ce que j’ai des remords ? Non. Je suis une Lloyd, je n’ai qu’une parole, je ne reviens presque jamais dessus.
    J’étais prête à rentrer chez moi pour le week-end. Et j’étais plutôt contente à l’idée de retrouver mon lit douiller et mes elfes de maison qui faisaient tout à ma place. J’avais très mal vécu mes trois premières années car ont étaient autorisés à quitter l’école le week end ou quand on avait pas cours seulement à partir de la quatrième année, sur l’autorisation des parents bien sûr. J’étais heureuse à l’idée de retrouver mon petit monde même si je savais que chez moi, personne ne m’attendais avec un enthousiasme tel que tout le monde ne me sauterait dans les bras. J’avais donc sauté dans un slim et j’avais enfilé en guise de haut une tunique à volant violette avec une gilet en cachemire de la même couleur, j’avais enfilé la première paire de chaussure que j’avais trouvé sous mon lit, en l’occurrence une paire de bottes noires à talons. Même si j’étais préssée de rentrer chez moi, je pris quand même le temps de me souligner les yeux avec mon khôl noir.
    Je quitta mon dortoir sans me retourner, je n’étais pas nostalgique, il n’y avait pas de quoi l’être, je retrouvais ce dortoir dans deux jours. J’étais un peu folle de d’avoir décidé sur un coup de tête à 22 heures que je quitterais l’école pour retourner chez moi mais j’avais besoin d’être seule, de m’évader, de changer d’environnement.
    Je quitta donc les dortoirs sans me retourner, je dévala ensuite les escaliers qui menaient à ma salle commune, sans un regret. Je monta les escaliers qui débouchaient sur le hall et me dirige vers la grande porte, je tremble de joie à l’idée de ma prochaine liberté. Quand soudain, je sursaute, il est là, il s’apprêtait aussi à sortir à l’extérieur mais il m’a vu, il fait mine de s’être trompé de chemin pour me faire croire qu’il ne m’a pas remarqué mais sais qu’il ma vu, à vrai dire tout le monde me voyait, même au milieu d’une foule, je ne passais pas inaperçue. S’en est trop pour moi. J’en ai marre de jouer au jeu de la souris. Il commence à monter les escaliers pour aller au premier étage, je ne réfléchis pas, je m’élance à sa poursuite. Je plongea dans la masse d’élèves regroupés dans le hall, j’écrase des pieds, je m’excuse brièvement à chaque fois, je ne veux pas le laisser filer encore une fois. Je saute sur la première marche de l’escalier, je m’agrippes à la rampe et je cours le plus vite possible dans les escaliers pour essayer de combler la distance qui nous séparent. Avait-il vu que je portais des talons de 10 cm ? Je suppose que oui, sinon il ne se serait pas donné la peine de monter les trois étages en courant. Arrivée sur le pallier du troisième étage, essoufflée et les pieds endoloris à cause de mes talons, je continus ma course effrénée, mon souffle est de plus en plus court et mon cœur bat de plus en plus fort dans ma poitrine, j’ai l’impression qu’il va s’arrêtait mais je ne m’arrête pas je continus de courir, je le vois rentrer dans la salle de sociologie, c’est le seul moment ou je pourrais l’arrêter, il mettrait du temps à descendre toute les marches de l’amphithéâtre. Je fonce dans la porte de la salle, elle s’ouvre en coup de vent, je commence à descendre les marches en trébuchant pas mal de fois . Il voulait me tuait ou quoi ? « TU PEUX M’EXPLIQUER POURQUOI TU ME FUIS TOUT LE TEMPS ??? » finit par hurler Lullaby fatiguée et excédée par l’attitude du Serdaigle. Si il était un temps soit peut gentleman, il s’arrêterait pour répondre à Lullaby, espérons maintenant qu’il le fasse !
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: tu peux courir tant que tu veux, je serais toujours derrière toi tu peux courir tant que tu veux, je serais toujours derrière toi  EmptyDim 21 Nov - 11:19

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Les vendredi soirs étaient, disait-on, réservés aux festivités de la jeunesse : pour ma part ne pouvant pas me noyer dans les méandres de l'alcool sous le risque de devenir saoul au bout de deux gorgées, et d'avoir ainsi l'irrépressible envie de planter mes canines dans la chair tendre de mes camarades, je préférais m'abstenir de participer à toute manifestation du genre. Certes j'étais conscient que je ne pourrais pas passer une année entière à éviter de me rendre à ce genre de soirée, mais en l'instant je m'en préservais en les consacrant aux études. Mon but étant de sortir d'ici le plus rapidement pour atteindre les sphères du pouvoir, je ne lésinais donc pas sur mon apprentissage à Poudlard, quand bien même en tant que buveur de sang, je peinais à lancer un simple Lumos. Qu'y pouvais-je. Fronçant le nez sous cette pensée désagréable, je relevais mes yeux fauves devant moi, marchant d'un pas allègre et ne me poussant certes pas du chemin de mes camarades encombrant les couloirs. Seuls ces derniers se frayaient un passage lorsque j'arrivais, claquant parfois leur langue contre leur palais dans un soupir d'agacement quant à mon attitude impolie. Mais la plupart, devant la froideur de ma personnalité glaçante, n'osaient en général rien me dire, et se soumettaient à mon arrogance imposante. C'est ainsi que, malgré toute la masse informe d'élève qui me frayait un chemin, mes rétines de braise se posèrent sur cette Serpentard flanquée en plein milieu de ma route. Fronçant mon nez de dégoût à l'idée de passer à ses côtés, je fis alors demi-tour et décidai que, de toutes façons, si j'avais pris ce chemin-ci il m'aurait passablement rallongé ma route. C'est alors que j'entendis derrière moi quelques appels désespérés et fougueux : la demoiselle en rogne s'était donc lancée à ma poursuite. D'abord exaspéré, j'esquissais un sourire amusé et cynique sans même me retourner, accélérant alors le pas. Ce soir, je n'étais vraiment pas d'humeur à me consacrer à cette fille aussi stupide qu'une poule de bas-étage : prôner les sangs purs comme la famille Lloyd pouvait le faire, avait pour moi quelque chose d'abjectement écoeurant et de passablement méprisable. C'était donc un fait avéré : Lullaby Lloyd me sortait par les yeux, sans même que je ne prenne le temps de la connaître. En toute probabilité, je ne voulais pas faire sa connaissance, je ne voulais pas faire l'effort de passer outre les a priori, et encore moins la regarder ou passer à sa proximité. Son être tout entier m'écoeurait tant je l'apparentais à ces personnes qui ne juraient que par la pureté du sang : moeurs stupides, pensées stupides, sorciers stupides. Ainsi donc, j'accélérais tranquillement le pas, persuadé l'avoir semée, quand enfin j'entrais dans la salle de sociologie, descendant les marches avec une prestance soufflante. Et soudain, alors que je n'en avais descendu que la moitié, les portes s'ouvrirent à la volée, sous l'impulsion d'une colère rude : la demoiselle venait d'en passer le seuil, ce qui m'arracha malgré moi un sourire ironique sans même que je ne me retourne. « TU PEUX M’EXPLIQUER POURQUOI TU ME FUIS TOUT LE TEMPS ??? »

Fâchée, la demoiselle. J'arquais alors les sourcils, me stoppant dans mon élan, et me retournai enfin avec le détachement le plus naturel du monde. Silencieux et calme, je la toisais alors de haut en bas, observant au passage ses talons vertigineux : je devais avouer que cette Lloyd était bien habile pour pouvoir courir avec ce genre de chose. Etait-elle tombée dans l'escalier ? Je l'espérais. Mais à la vue de sa coiffure impeccable, j'en déduisis avec déception que ça n'avait pas été le cas. « Visiblement la petite reine de Poudlard n'aime pas être traitée avec indifférence. » Et derrière mon regard méprisant envers cette Serpentard, je vins tout de même esquisser un rictus charmeur mais railleur, envers cette dernière, daignant enfin monter quelques marches en sa direction, jusqu'à arriver à sa hauteur. « Procédons par déduction puisque tu ne sembles pas pouvoir éclairer ce mystère toute seule. Je ne te jalouse pas, je ne t'envie pas, et je ne te désire pas non plus, sans quoi ce que je suis en train de faire s'appellerait plus communément de la psychologie inversée. » Je levais mon regard de braise vers le plafond, parlant à la demoiselle avec condescendance et lassitude, persuadé qu'elle ne comprendrait pas un mot de ce que j'avançais. Si elle était une Lloyd, elle était forcément stupide. Fin de la démonstration. « Donc tu en auras intelligemment déduit que c'est parce que je ne peux pas te voir en peinture, Lloyd. Tu m'insupportes, et en toute probabilité tu m'insupporteras à chaque fois que je t'aurais dans mon champ de vision. Est-ce que cela répond à ta question ? » soufflais-je de ma voix suave et basse, tandis que je reportais mes yeux fauves sur la délicate demoiselle.
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