Illiam Colton
« ft. Jonnhy Depp »Holmes

O'Children ▬ Nick Cave

Carte d'Etudiant
ID n° H.B221.PR

© LipsLikeAMorphine

» Nom; Holmes, oui comme le détective. Le parallèle avec le personnage de fiction lui plaisait assez, mais à force de toujours entendre les même vannes il s'en est lassé et ne supporte plus qu'on lui fasse la remarque. Holmes vient en fait du nom Holme qui en vieil anglais peut signifier soit une personne vivant sur une île dans un marais, soit quelqu'un vivant près d'un arbre sacré. » Prénom(s); Illiam Colton. Il ne se fait jamais appelé Illiam, seulement Colton. Le privilège de l'utilisation de son premier prénom est réservé seulement à sa mère. Illiam est la traduction en manx gaélique de William. Colton est un nom Anglais assez moderne qui viendrait du surnom donné à une ville : Cola's town. » Date et lieu de naissance; Le six mai mille neuf cent soixante trois à Londres. » Age; Quarante-sept ans. » Nationalité; Anglaise. » Sang; Mêlé. » Maison; Anciennement Serdaigle. » Baguette; Naît d'un baobab, sa baguette a des teintes gris foncées. Rigide, elle assure une meilleure précision, mais est de fait plus lourde donc plus lente. Le baobab représente la longévité, la vie et l'espoir. Elle mesure 31centimètres et contient un nerf de dragon. Élément puissant qui apporte une certaine vivacité à la baguette, mais à tendance à la rendre nerveuse par la même. » Profession; Directeur de l'UFR médicomagie, Professeur de potions. » Patronus; Un ours. Cet animal est protecteur et plutôt pacifique. Il n'utilise la violence que pour défendre son territoire ou sa progéniture. Il paraît agressif et puissant à l'extérieur, mais quand on creuse, on se rend compte que l'ours est un animal sensible et plutôt doux. » Epouvantard; Une cabine téléphonique. En fait, il est claustrophobe, mais la cabine représente un épisode de son enfance assez douloureux. Sa peur ne s'est jamais arrangé et avoir vécu pendant des années à l'air libre l'a même un peu aggravé. Il a du mal à donner ses cours dans les cachots, ce qui explique, qu'il semble perdre l'équilibre parfois. » Quotient Magique; 160, un score plutôt impressionnant. Colton est un surdoué derrière ses airs de rock star complètement stone. Ce n'est pas une sorte de génie inné, c'est en fait une capacité étonnante à réfléchir et à raisonner d'une façon assez originale et particulière. Il a l'impression de voir le monde à sa façon, au ralenti. Il voit les causes et devine leur conséquences à l'avance. Bref, pour le comprendre, il faudrait voir le monde avec ses yeux.

Informations complémentaires

Situation Familiale
Qui choisit sa famille ? Je vous l'demande...

La croyance populaire lui prête des tas d'enfants disséminés à travers le monde résultat d'amourettes de voyage. En fait, il n'a qu'un seul enfant dont il connaisse l'existence : Tamzin Holmes qui étudie ici à Poudlard. Un jeune homme d'une vingtaine d'année avec qui il a du mal à s'entendre. Déjà, il n'est pas très doué pour nouer des liens avec les gens, mais surtout il n'a jamais, vraiment, été là pour lui à cause de son boulot. Ils ont tout de même partagé quelques expériences assez fortes puisque Colton a emmené son fils durant une de ses expéditions humanitaires dans la forêt amazonienne.

Muggle zone
Derrière l'écran, le joueur.

» Pseudo (et prénom, si ça te chante) Diagnosis.
» Age; 21 ans.
» Un double-compte ? Nope.
» Présence sur le forum (./7); entre 4 et 6/7
» Avatar choisi;

Code:

<b>[color=indianred]▬ </b> Johnny Depp [/color]■ [url=http://relashio.forumsrpg.com/t410-illiam-colton-holmes-in-my-boat#5495]I. Colton Holmes[/url]

» Code de la fiche;

Code:

[img]http://img4.hostingpics.net/pics/621286encourspng.png[/img]  [url=http://relashio.forumsrpg.com/t410-illiam-colton-holmes-in-my-boat#5495]I. Colton Holmes[/url] ▬ 02/01/2011 16/01/2011 (Délai OUI [ ] NON [x])

» Réponse à la question du moment;
» Comment avez-vous connu le forum et quel est votre avis ? Par un partenariat. Je saurais pas vous dire pourquoi je me suis inscrit, c'est un truc par rapport à l'ambiance générale du forum et à son look qui m'a donné envie de vous rejoindre.
» Quelque chose à ajouter ?

Là où le vent nous mène
What's you story, morning glory ?

Il passa sa main tatouée dans ses cheveux trop longs et sales, avant de caresser sa barbe finement taillée qui contrastait avec l'état général du bonhomme. Il s'était assis sur une sorte de pouf mauve devant une table basse sur laquelle une tasse de thé se remplissait toute seule. Le pouf n'était pas très agréable, mais c'était toujours mieux qu'une chaise ; il ne pouvait plus s'asseoir sur les chaises. Quand vous passez deux ans assis à même le sol d'une cabane en bois suspendue entre deux arbres, vous asseoir sur une chaise relève de l'exploit. La position du corps nécessaire à cette exploit n'étant plus dans vos habitudes. Il finit d'ailleurs par enlever le pouf de sous ses fesses, même ça, ça le gênait. Il était assis à même le sol, en tailleur, face à une jeune femme tout à fait séduisante, mais surtout puissante ; du moins selon les critères du monde occidental et dans l'enceinte du collège Poudlard. La jeune femme, Junko Thomas, l'observait assidument comme si elle avait voulu sonder les profondeurs de son âme par son seul regard. Et quel regard d'ailleurs. Colton devait avouer qu'il la trouvait très agréable à regarder et qu'il n'était pas mécontent de passer son entretien d'embauche avec elle. Certes parce qu'elle était très belle, mais surtout parce qu'elle ne semblait pas très à l'aise non plus pour cette exercice. Sûrement quelque chose de nouveau pour elle, ou du moins quelque chose qu'elle ne pratiquait pas souvent. Colton avait remarqué cela en entrant dans la pièce : elle voulait paraître calme, maître de la situation et de ses émotions, mais certains signes la trompaient. Il avait entendu parler d'elle, de sa réputation. Il l'aimait bien, même sans la connaître. C'était une sorte de rebelle, un petit bout de femme qui n'avait pas froid aux yeux. Il aimait bien ça chez une femme : le caractère en acier trempé, à la limite de la chieuse finie. Il était un peu comme ça lui aussi, une sorte de rock star, en marge de la société, en dehors des conventions et des moules bien définis par d'autre. Une sorte d'aventurier, un pirate des temps modernes : les meurtres et le pillage en moins. « Vous avez un cursus plutôt impressionnant, monsieur Holmes ». Elle l'avait tiré de sa rêverie, il releva la tête vers elle et s'éclaircit la gorge. « J'ai surtout fait de l'humanitaire ». « Pourquoi ce choix ? C'est une vie compliquée, vous courez à droite à gauche dans des pays souvent en guerres et des villages dévastés ». N'importe quel crétin, désireux de paraître meilleur qu'il ne l'est aurait répondu : parce que je voulais aider les autres, mais c'était justement le piège de la question : ne pas y apporter une réponse toute faite et fausse. « J'étais jeune, un brin rebelle et plutôt aventurier et puis la vie dans un hôpital, ce n'est pas toujours facile non plus. Là au moins j'ai pu voyager ». Elle secoua la tête, c'était à peine perceptible. Soit elle était satisfaite, soit elle ne l'était pas. C'était impossible à déterminer et avant que Colton ne puisse pousser sa réflexion plus loin, elle avait enchaîné avec une nouvelle question. « Êtes-vous en train de me dire que la vie stable d'une institution comme un hôpital, ou une école, n'est pas faite pour vous ». C'était brillant, une question piège de premier ordre. Elle ne faisait, peut être pas, passer souvent des entretiens, mais elle était naturellement doué pour ça. Elle s'engouffrait dans la brèche, elle saisissait la balle au rebond. Colton ne perdit pas son calme pour autant. « A une époque, je me fichais de la stabilité, je voulais de l'aventure et du frisson, aujourd'hui, je suis plus vieux et je recherche quelque chose de plus posé, de plus terre à terre ». Décidément, son regard avait quelque chose de magnifique : il s'en dégageait une sorte de mystère dangereux et tentant. Elle griffonna quelque mots sur un parchemin avant de relever la tête vers Holmes. Il était loin d'avoir le look typique des professeurs, au contraire, il ressemblait plutôt à un gangster, un mauvais garçon. Après tout, l'école était dirigée par elle, par un vampire et un ex-auror à la baguette facile : alors un détraqué de plus ou de moins. « Je pense très sérieusement accepter votre candidature, mais avant racontez-moi vos nombreuses aventures ».

◘ ◘ ◘

Les Caraïbes, destination de rêve dites-vous, cauchemar ambulant vous répondrait Colton. Outre, la chaleur moite et agréable en plein mois de septembre, outre l'accueil chaleureux des habitants du coin et outre un rhum de qualité supérieur. Les caraïbes disposent de la pire infrastructures médicales sorcières du monde. En fait, Holmes se demandait même s'il était bien utile de faire quoique ce soit ici, puisque les conditions d'hygiène normales n'étaient jamais respectées. Enfin, au moins il avait pu se baigner et rencontrer quelques très jolies jeunes femmes tout moins habillées les unes que les autres. Il aurait probablement pu vivre ici, mais il était là pour bosser et c'est tout ce qui devait compter en cet instant. Au loin, il voyait la silhouette floue de son "aide de camp" : un gamin tout juste sortit de l'école. Colton l'aimait bien, mais il le trouvait absolument exaspérant. Ce jeune garçon était un concentré de bêtise et un savant mélange de manque de bon sens et de naïveté presque touchante. « Vous avez pris de la crème solaire ? ». Il se frappa le front si fort que même les oiseaux des alentours partirent de leur branches, effrayés. « J'ai oublié. En même temps, y a pas trop de soleil là ». « C'est le matin, cet après-midi la température avoisinera les quarante sept degrés et je vous rappelle que le soleil atteint son zénith à midi et qu'à ce moment-là nous serons dehors en plein cagnard ». Il se tapa le front une nouvelle fois. Colton se leva et commença à partir en souriant.
Ils arrivèrent dans un village dévasté. Un village de sorcier qui avait subi les foudres des habitants les plus superstitieux. Certaines rumeurs persistaient, certaines idées étaient ancrées trop profondément dans les esprits pour s'en déloger. Les sorciers étaient très mal vu et bien qu'il se soit installé à l'écart des autres, ils subissaient leurs attaques répétées. Le boulot du médicomage et de son jeune assistant était de prodiguer les premiers soins aux blessés et de suivre l'évolution de leur état. Le plus souvent, il empirait. Les blessures allaient de quelques écorchures minimes à des mutilations bien plus graves. Le pire se produisait quand un autre village de sorcier les attaquait, dans ces cas-là, il n'y avait plus grand chose à faire. Le vieux sage du village vint à sa rencontre et lui expliqua que cette fois s'était le fait des hommes, dans toute leur stupidité et leur rage meurtrière. Colton avait voyagé dans des contrés plus reculées que celle-là, moins évoluées technologiquement et pourtant les hommes qu'ils soient sorciers ou moldus y cohabitaient sans problème. Au contraire même, les moldus venaient chercher l'aide des sorciers et les sorciers celle des moldus. Le tout dans un respect mutuel. Colton Holmes n'était pas du genre à verser dans le cynisme ou le sarcasme, mais l'espèce humaine lui laissait un goût amer dans la bouche. peut être était-il fatigué de voir ses pires côtés et jamais ses meilleurs. En tout cas, il avait du mal, devant un tel spectacle, à croire encore en elle.

Il eut à peine le temps de soupirer à cette pensée lorsqu'il comprit que quelque chose clochait. Il y avait quelque chose dans l'air autour d'eux. Il sentait la magie à l'œuvre pas loin d'ici. Plusieurs hommes apparurent de nulle part. Certains avaient transplanés jusqu'à eux, d'autre levaient leur sort de désillusion. C'était ça qu'il avait vu, qu'il avait senti. D'un geste vif, Colton saisit sa baguette et stupéfixa deux personnes. Il avait bien fait de suivre aussi le cursus pour devenir auror à Poudlard. Il attrapa son assistant par le col et le traîna à l'écart.Le pauvre jeune homme avait du mal comprendre ce qui se passait. Il bégayait et ouvrait les yeux comme des soucoupes. « Va falloir vous sortir les doigts du cul, mon vieux, on se fait attaquer ». Un sort siffla au-dessus de leur tête, ce qui sembla réveiller le jeune homme. Il empoigna sa baguette fermement et commença à lancer des sorts de défense. Déjà des villageois tombaient, il ne fallut pas longtemps pour que le vieux sage tombe lui aussi malgré toute la bravoure dont il fit preuve. Colton lança quelques sorts, éliminant les meneurs en priorité. Privé de chef, les soldats sont désorientés et battent en retraite. Bizarrement, il y avait quelque chose de très coordonné, de propre dans les déplacements de leurs ennemis. Ce n'était pas qu'une attaque d'un village rival, ce n'était pas qu'un simple raid, c'était une bataille rangée digne d'une partie d'échec magique entre deux champions. Il y avait quelqu'un derrière tout ça, quelqu'un qui ne combattait pas ces sorciers à cause de leur don comme les villageois. L'action s'arrêta d'un seul coup, sans crier gare. La plupart des survivants du premier massacre avait succombé au second. L'assistant de Colton était mort lui aussi. C'était ce jour-là qu'il pris la décision la plus importante de sa vie. Celle de vivre loin de tout dans une peuplade tribale inconnue. Loin de la violence, loin de la guerre, loin du monde et même loin de la magie. Son fils lui en voudrait, sa femme aussi, c'était une décision égoïste qu'il prenait pour lui et pour lui seulement. Mais il en avait marre, il ne supportait plus tout ça. Pendant dix ans, inlassablement, il était venu en aide à des gens dans le besoin en leur apportant son savoir de médicomage et rien, absolument rien n'avait changé. Il avait essayé de faire bouger les choses, de parler aux gouvernants, mais aujourd'hui, il était las.

◘ ◘ ◘

« Enfin, vous voyez à peu près le tableau quoi, je me suis coupé du monde pendant plusieurs années en prétextant une mission humanitaire pour que ma famille reçoive toujours de l'argent ; d'ailleurs j'avais des contacts qu'avec eux ». La directrice secoua la tête, compréhensive. Peut être avait-elle connu aussi ces moments où il n'y a que deux solutions à un problème : se tirer une balle, ou se couper du monde ; du moins c'est ce que Colton voulait croire. Peut être qu'en fait, Junko Thomas le prenait juste pour un dingue de plus. « Je pense très sérieusement à vous engager, mais je dois vous prévenir que les élèves, certains d'entre eux, sont à des kilomètres de ce que vous avez pu connaitre avec les tribus d'Amazonie ». Il sourit, une chose assez rare ces derniers temps, ce qui était dommage d'après sa mère parce qu'il avait un très beau sourire. « En fait, ils sont pas si différents des sociétés dites "primitives" ». La moue de la directrice en disait long, elle pensait que Colton était encore sur un petit nuage et qu'il déchanterait vite après son premier jour.

Le premier jour, on y était. Des cris d'enfant, certains heureux, certains anxieux. Dans toute cette agitation, il régnait le chaos, bien sûr, mais curieusement une sorte d'harmonie semblait se dégageait. Les mouvements de foule se régulaient d'eux même, les voix se mettaient au diapason et l'équilibre fragile de l'école s'étaient mis en place. La routine reprenait ses droits. Colton, lui, n'était ni anxieux, ni spécialement heureux. Content d'être de retour à Poudlard, après tout il y avait passé une bonne partie de sa vie, et où il avait pris une bonne partie de ses cuites. La sonnerie retentit au loin, c'était le gong : le début du combat. Les pas des élèves commencèrent à se faire entendre un peu partout. D'abord ce n'était qu'une rumeur, puis le son s'amplifia graduellement, jusqu'à devenir assourdissant. Une sorte de roulement de tambour. Les voix était à la porte de la classe, on y était. D'une voix sonore, mais posée, Colton leur dit d'entrer. Les élèves découvrirent leur nouveau prof de potion allongé sur son bureau, les genoux légèrement ramenés vers lui, les mains sous la tête. Au fond de la salle, dans un fauteuil assez classe, se tenait un squelette. Il était coiffé d'un chapeau, celui du prof, et avait une cigarette coincée entre les dents. Quand les élèves entrèrent, le squelette leur adressa un petit signe de la main. Holmes ne sembla pas s'en alarmer plus que ça. Au contraire, il lui piqua la cigarette, en prit une bouffé avant de l'éteindre et la remit à sa place. Les élèves commencèrent à bavarder entre eux, échangeant, probablement, leur première impression sur ce professeur et sur le squelette. Colton scruta la salle, il en fit le tour identifiant en un coup d'œil les meneurs et les suiveurs. Une classe, c'était un peu comme une meute de loup : il fallait le mâle dominant ou mâle alpha et bien évidemment la femelle dominante. Les autres se contentaient de suivre les meneurs, si les meneurs décrétaient que Colton était un gros nase, tout le monde penserait que Colton est un gros nase. S'ils décrétaient que Colton était un mec cool, alors tout le monde penserait que Colton est un mec cool.
L'une des seuls choses à faire, après avoir identifié la dynamique de groupe, c'était d'isoler les meneurs ou de les écraser pour les remplacer. Si Colton devenait le meneur, il s'assurait la domination de sa classe et sa maîtrise. Permettant au suiveur de sortir du lot et peut être même au souffre douleur de s'affirmer. Il repéra un des meneurs, un garçon à l'air hautain, massif et probablement crétin. « Toi là, non me dis pas ton nom ça m'intéresse pas, tu aimes ce gars là, mais tu peux pas dire ouvertement que t'es homo parce que tu perdrais ton statut de mâle alpha ce qui serait bien évidemment la fin de ta popularité obtenu par la peur que tu inspires ». Une bonne chose de faite, à part qu'il passait pour un salopard fini. Il repéra un autre garçon, il était affalé sur sa table et ne semblait pas très réactif. C'était le seul à n'avoir pas réagi à l'annonce de l'homosexualité du mâle dominant. « T'as la gueule de bois ? ». « Non, monsieur, j'ai pas le droit de boire, j'ai pas l'âge ». Respiration plus rapide et saccadé, bégaiement, non seulement les jeunes ne savaient plus boire, mais ils ne savaient plus mentir non plus. Il lui donna une fiole. « Potion anti gueule de bois, je l'ai mise au point en sixième année. Pour toi, c'est cadeau, mais si vous en voulez plus, vous devrez répondre correctement à mes questions ». Il se dirigea vers le tableau pour noter l'énoncé du cours avant de se retourner dans un mouvement assez particulier, on aurait dit qu'il tanguait. « Si on vous demande ce que c'est, répondez que c'est une potion pour la toux ». Cette première journée se passait plutôt bien.

Merci pour l'accueil

Oui, j'aime le fouet, moi aussi
Merci ^^

Ben dis donc, ça, c'est du prof

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche !

Merci lol.
Je compte bien devenir le prof le plus cool et le plus sexy de Poudlard

Merci beaucoup

Merci à toutes les deux.
J'adore vos icons à l'effigie de vos maisons

Merci

Merci.
ça devrait pas être très dur, je pensais en faire un faux calme qui s'énerve plus vite que son ombre.

Pardon pour le DP.
Je pense avoir terminé ^^

Merci

C'est quoi qu'on doit dire déjà ? A oui, Bienvenue
Je veux un lien, et c'est pas négociable

Merci
Avec plaisir, je vais lire ta fiche ça me donnera des idées.

I. Colton Holmes a écrit:

Merci lol.
Je compte bien devenir le prof le plus cool et le plus sexy de Poudlard


Ça, c'est ce qu'on appelle une sacré ambition. Qui va rapidement être réalisée, soit dit en passant.
Bienvenue sur Relashio. :3 Tu as déjà tes fan-girls.

London M. Antwerp a écrit:

Je m'occupe de toi dès que j'ai le temps =)

Pas de souci ^^

Lee : Merci. Oui, c'est ça d'être beau
Parfois, c'est un fardeau lourd à porter, et parfois *sbaff*