Mimi Geignarde (Oui oui, elle existe, excepté que sa mort n'est pas dûe à un serpent géant en carton-pâte, mais simplement à une ridicule glissade dans les toilettes) hantait jadis les lieux, ruminant sa peine concernant sa mort pour le moins ridicule, jusqu'à ce qu'elle s'aperçoive que les toilettes pour hommes étaient infiniment plus sympathiques pour ce qui était de se rincer l'oeil. Les toilettes des filles furent réhabilités par le personnel et rendus mixtes.

Personne ne sait exactement où se trouve cette pièce mis à part les élèves faisant parti de cette association de fêtard. Crée par la première génération de sorciers qui l'a fondèrent, cette pièce sous les combles (il faut dire cinq noms d'alcool différent pour pouvoir voir une nouvelle cabine de toilette s'ouvrir avec un escalier qui y mène) est le lieu pour faire la fête sans être déranger. Avec un bar à disposition, une piste de danse, des canapés et même un chariot qui peut être remonté directement des cuisines, c'est LE lieu pour faire la fête. Enfin, cela ne les empêche pas d'aller la faire également ailleurs.

Il parait qu'en se baladant d'un air stupide devant le mur qui termine le corridor du Premier Etage, on accède à la Salle sur Demande. Ce n'est pas un mensonge, trois allers-retours devant les vieilles briques, un souhait plus fort que tout autre et vous voilà devant la porte de cette fameuse salle. Enfin presque. Puisque madame est capricieuse. Elle appréciera un petit "S'il te plaît" et pourrait, à l'inverse, bien être capable de vous envoyer dans un décor inhospitalier si vous lui déplaisez. Ou bien ne pas s'ouvrir du tout, voire vous jeter dehors.

La salle de DFCM est une sorte de musée des Aurors à elle toute seule. Un faux pas peu entrainer le cliquetis de détecteurs de Mages noirs ou l'ouverture de pièges encore en état de marche, le précédent professeur ayant parfois oublié de les désactiver. Quelques élèves sont même allés faire un tour à l'infirmerie à cette époque... C'est certainement pour cela que la plupart des étudiants préfèrent se tenir tranquille...

Personne ne sait comment cela se fait mais ce couloir est assez particulier en son genre. En effet, si à première vue il parait des plus normal cela n’est pas rare de voir des personnes en ressortir en train de pleurer, heureuses ou alors en colère. Lorsqu’on y passe, nos émotions et sentiments semblent ressortir d’une telle force qu’il est difficile de se retenir. Alors désormais il est rare d’y passer sans jamais sourciller, un véritable défi pour tous les élèves ou professeurs.

Spacieuse, légèrement insonorisée et illuminée par d'immenses vitraux tenant lieu de baies vitrées, l'infirmerie de Poudlard accueille toujours de nombreux pensionnaires, pour des incidents plus ou moins grave. On trouvera toujours, bien caché entre les allées, un ou deux joueurs de Quidditch se plaignant de ne ma guérir assez vite, ou quelques victimes des fantômes, expériences de London etc...